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Suite à l'épidémie de tuberculose et à l’abus de sorcelleries au cours de cette triste période, les Pénitents, une milice sans pitié qui se veut la main armée de Dieu, parcourent toujours les rues. La Reine a-t-elle perdu la tête ou le contrôle ?

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Alice Liddell ♦ Jouons ensemble
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 :: A Fascinating story :: Fiches de personnages :: Fiches abandonnées
Invité
Anonymous
Invité
MessageSujet: Alice Liddell ♦ Jouons ensemble Alice Liddell ♦ Jouons ensemble EmptyMer 18 Fév - 0:06


   
I. NOM ET PRENOM.

   

    • NOM : Liddell
    • PRÉNOM : Alice
    • ÂGE : 22 ans.
    • SEXE : Femme.
    • ORIENTATION SEXUELLE : Il lui faudra bien épouser un homme.
    • MÉTIER : Aucun.
    • SITUATION FINANCIÈRE : Aisée
    • OCCUPATIONS/PASSIONS : Alice est une jeune femme simple. Elle aime écrire, lire, se promener dans Londres et s'occuper des animaux. Elle aimerait raconter des histoires aux enfants, mais on le lui a interdit.
    • GROUPE : Contes
    • HISTOIRE D'ORIGINE : Alice aux Pays des Merveilles.


   
II. LES DESCRIPTIONS.


    CARACTÈRE

   
Ambivalente • Surprenante • Fausse  • Délicate • Effrayante • Raffinée


   
Définir le caractère d’Alice, complètement et sans détours, relève du prodige. Je ne me lancerais pas dans un exercice pareil. Cependant, je peux peut-être essayer de vous le résumer.

Depuis petite, Alice a toujours été une jeune fille adorable. Brillante, bien élevée, débrouillarde… On n’aurait pas pu rêver plus délicieuse enfant. Elle récitait ses poèmes à merveilles, apprit très tôt la couture et la broderie, montrait une innocence sans bornes ainsi qu’un intérêt quasi scientifique pour les animaux et leurs points communs avec les humains. C’est sûr ce dernier point que j’ai souvent tiqué, lorsqu’elle me posait des questions. « Les chats ont-ils un cœur, comme nous autres ? » ou encore « Serait-il possible de confondre l’estomac d’un chien avec celui d’une petite fille ? » et autant de questions qui vous font froid dans le dos venant d’une si ravissante petite tête blonde. Mais tout cela ne relève que de la curiosité des enfants, tout du moins c’est ce que je me disais. Mais en grandissant, son intérêt eut tôt fait de s’accroitre. Bien entendu, je refusais d’écouter ces rumeurs à propos d’animaux de compagnie qui disparaissaient, il était hors de question que j’ouvre simplement les yeux sur ces agissements. Jusqu’au jour fatidique.

Dès lors, l’éducation de la jeune fille fut redoublée. Elle fut surveiller d’autant plus, ses leçons ne cessèrent de s’étoffer et il ne lui était plus permis alors de vaquer à ses morbides occupations qui aurait fait frémir quiconque de normalement constitué. Lentement, Alice redevint l’image que j’avais d’elle : Une jeune fille souriante, curieuse et douce. Je lui faisais moi-même la lecture, le soir venue et elle ne cessait de m’interrompre pour me demander plus de détails sur les histoires –combien le prince était beau, combien la princesse était grande, de quel couleur était les chevaux…- ou parfois même pour en ajouter d’elle-même. Très vite me vint l’idée de lui faire enseigner la poésie ainsi que l’écriture, ce qui ne manqua pas de la ravir. Ainsi donc, avec sa perceptrice, elle ne cessait de gratter le papier avec cet éternel sourire enfantin sur le visage et de l’amusement dans ses rires. Mais l’adolescence est ingrate, n’est-ce pas ?

Croyez bien que la petite tête blonde se tint toujours à carreau. Pas d’escapades ni de désobéissances, et croyez bien que j’aurais préféré. Simplement, une fin de matinée d’hiver, Madame Stanford –la femme de chambre d’Alice- vint me trouver avec un air paniqué sur le visage. Elle portait dans ses bras, une bonne centaines de feuilles volantes noircis d’encres dans tous les sens dans le chaos le plus total. Je ne compris pas, tout d’abord, cette panique. « C’est mademoiselle, madame. Elle m’inquiète. » Alors je compris. Je me levais d’un bond et arrachais les feuilles des mains de la servante avec violence et empressement. « NE PARLEZ DE CELA A PERSONNE ! ET FAITES LA SURVEILLER ! » Ce qu’elle ne manqua pas de faire sur le champs.

C’est ainsi que j’appris l’ambivalence d’Alice. Ce que j’ignorais, c’est que je ne le connaissais pas encore. L’avenir me fit comprendre que je ne connaitrait jamais véritable cette jeune femme et je l’envoyais donc rapidement au couvent afin de l’éloigner le plus possible de ma famille et de moi-même. Cette jeune femme aussi douce que violente, aussi innocente que perverse, aussi torturée que sadique… Cette inconnue qu’est ma fille.


    PHYSIQUE
   

   
Alice est une ravissante jeune fille, et je ne dis pas ça parce qu’elle est ma fille croyez-moi. La vérité est qu’elle me ressemble bien plus qu’elle ne ressemble à son père. Ses cheveux blonds, s’ils ne sont pas domptés, peuvent lui tomber jusqu’au milieu du dos en mèches entortillées et denses. Elle les aime, les chéris et les dorlote comme s’il eut s’agit d’une précieuse poupée. Elle a toujours aimé qu’on la coiffe, qu’on la pouponne, que ce soit moi ou bien nos servantes. Malgré la nature de ceux-ci, ils sont incroyablement facile à coiffer et l’on pourrait en faire de véritables œuvres d’art… Mais Alice n’aime que les chignons et refuse de garder quelque coiffure sculpturale pour sortir. C’est une demoiselle simple qui n’aime pas paraitre tape à l’œil. Enfin je pense.

Son visage, quant à lui, est tout simplement une représentation parfaite du miens lorsque j’avais son âge. De grands yeux bleus qui ne cessent de dévorer le monde d’une curiosité intransigeante, qui ne saurait souffrir d’une absence de réponse. Son nez, fin et droit, semble à lui seul montrer la haute naissance de celle-ci et lui donner des allures de noble. Ses joues sont bien fournies sans être trop graisseuses et son visage en soit est une harmonisation toute simple des valeurs que recherches les femmes de bourgeois.

Mais son sourire lui, est un véritable mystère. Il peut être franc, sans détours et exprimant le bonheur enfantin tout comme une véritable source d’inquiétude inébranlable qui vous ferait frémir jusqu’aux orteils. Tous ses sourires me semblent être calculés pour maximiser l’effet qu’elle veut avoir sur les gens autour d’elle. C’est un sourire hypocrite, que je me refuse à regarder directement tant il me met mal à l’aise. Je ne peux pas croire que ma petite fille puisse posséder un sourire si beau et si destructeur à la fois.

En dehors de tout cela, Alice est une fille comme on peut en trouver partout. Bien entendu, comme je suis sa mère, je ne peux que lui trouver le charme de la jeunesse et la beauté tranquille des fleurs qui bourgeonne. Je ne suis donc pas vraiment impartiale sur le sujet, mais il va sans dire qu’elle plaira sans doutes à certains hommes –espérons qu’il en sera de même pour celui qui lui sera promis. Elle n’est ni grande, ni petite, simplement dans la moyenne -Un mètre soixante, de justesse- et possède un corps harmonieux qui promet un accouchement plus aisé que le mien. Tout du moins, je lui souhaite.


   
III. L'HISTOIRE.


   

L'origine



Lorsque nous, adultes, imaginons les rêveries des enfants soyez bien certain qu’il réside toujours une composante sociale qui ne touche guère nos marmots. S’imaginer princesse n’a rien à voir avec la richesse, se prendre pour un chevalier n’est en rien pour la gloire et rêver de rejoindre un équipage pirate n’est en rien inquiétant. Le point commun de ces rêveries n’est autre que l’aventure, tout simplement. Le dépaysement, le changement, l’apprentissage d’un univers où l’on est intrépide et ou il n’y a nul besoin de se soucier de ce que font les grandes personnes. Alors imaginez une seconde les pérégrinations du cerveau d’Alice, bien assez grande pour subir la pression sociale mais bien trop jeune pour les comprendre.

C’est ainsi que la jeune fille, qui venait de voir passer un lapin blanc aux yeux roses, ne fut guère étonnée de sa redingote et de sa préoccupation manifestement maladive pour l’heure et le temps. Par contre, il est certain qu’elle n’en avait jamais vu aucun posséder une montre à gousset du plus bel effet, et c’est poussée par cette curiosité  qu’elle le suivit dans son terrier. Tout plutôt que de continuer à observer sa sœur lire un livre ennuyeux ou il n’y a ni illustrations, ni dialogues. Après une chute interminable durant laquelle elle eut le temps de réciter quelques poèmes appris avec ses professeurs, elle atterrit dans un pays incroyable ou le paradoxe est roi et où la logique ne s’applique que quand cela l’arrange. Un monde ou les chats disparaissent et où les fleurs chantent. Bienvenue, Alice, au pays des Merveilles.

Désormais.

Alice est une petite fille de bonne famille comme il y en a tant à Londres. Son père est banquier et sa mère passe le plus clair de son temps avec d’autres femmes afin d’entretenir leur condition sociale. Mais ne croyez pas que la petite tête blonde soit seule. Elle a une sœur, de quelques années sont ainée, qui représente absolument tout ce qu’il y a de plus parfait chez une jeune femme bien élevée. Elle est polie, elle est douce, elle sait écouter, elle ne lit que ce qu’il y a de meilleur et possède une tête bien remplie qui fait le bonheur de leur mère lorsque viennent des convives. Ainsi, Alice se doit de faire bonne figure. Adieu l’enfance ou elle pouvait courir dans le jardin en pourchassant les lapins, au revoir les souliers recouverts de boue et les livres pleins d’images. Désormais, elle était assez grande pour prendre des responsabilités et elle devait s’y habituer. Se faisant bien souvent violence pour bien paraitre, pour ne pas faire honte à son nom et sa famille, elle ne commet d’écart que lorsque sa curiosité gagne sur sa bienséance et… il faut bien admettre que cela arrive souvent. On lui dit sans cesse qu’elle est étourdie, tête en l’air et bien trop curieuse pour son propre bien sans qu’elle ne comprenne jamais en quoi tout cela était réellement des défauts. Elle n’a jamais compris pourquoi ses expérience pour comprendre le fonctionnement des chats avaient été si mal vus par sa mère, ne comprends pas plus le problème qu’il y avait à raconter ses histoires sombres et bien plus originales que tous ces ramassis de sciences bien trop dénués d’imagination. Mais n’allez pas croire que la jeune fille ne s’intéressa pas aux sciences, bien au contraire. Elle trouvait simplement qu’il eut été dommage de ne pas ajouter un brin de fantaisie à quelque chose d’aussi passionnant –et donc rendu si morne.

Ainsi donc, Alice grandit sous la surveillance de ses gouvernantes et de sa mère. Une surveillance acharnée qui débutait dès son éveil jusqu’à son coucher sans jamais discontinuer. Elle devait être parfaite, connaitre sur le bout des doigts ses belles leçons, savoir coudre et broder… Et malgré le nombre de poésies et de romans qu’elle se devait d’ingurgité, il lui était interdit d’écrire librement ce qu’elle voulait. Quel genre de prison était-ce là ? Le cœur battant, un véritable feu d’artifice sous son cuir chevelu, Alice commença à se cacher pour écrire ses histoires. Elle commença par raconter ses rêves sur du papier qu’elle cachait sous ses jupes, puis débuta une véritable épopée aux travers des lignes qu’elle grattait avec frénésie jusqu’à la fin de la nuit parfois. Mais comme tout secret tends à être découvert un jour, la petite Liddell fut rapidement découverte et on l’envoya au couvent jusqu’à ce qu’on lui trouve un bon mari pour l’épouser.

Mais étrangement, c’est ici que démarre la liberté de la jeune fleur en bourgeon. Alors que son corps se développait sans qu’elle ne comprenne bien ce qui lui arriva, elle se rendit surtout compte qu’aucunes restrictions n’avaient été ordonnées par sa mère auprès des sœurs du couvent. Ainsi donc, il lui était permit d’écrire autant qu’il lui plut du moment qu’elle suivait l’apprentissage offert par les nonnes. Une libération, d’autant plus qu’elle avait absolument le droit de garder ces écrits secrets dans les meubles de sa chambre. Jamais personne ne sut combien de pages elle avait écrit, ni combien ses histoires étaient sombres et parfois dénués de sens. A dire vrai, il était même quasiment impossible pour quelqu’un d’autre que la jeune femme de comprendre ce qu’elle écrivait. Non que son écriture soit sale ou raturée, mais plutôt que le sens de certains mots était tordu afin de mieux correspondre à ce qu’elle désirait exprimer. Malheureusement, la perfection n’existant que comme concept, il serait erroné de dire que cette période de la vie d’Alice fut « parfaite ». Effectivement, elle qui avait soif de connaissances et de sciences, il lui était impossible ne serait-ce que d’imaginer une dissection sans créer une émeute parmi les croyantes. « Ce ne sont pas là des choses pour une femme. » lui avait dire un jour sœur Elizabeth alors qu’elle lui demandait avec un regard emplit de curiosité comment était composé le cœur d’une colombe.

Et puis toutes les choses ont une fin, sachez-le. La fleur qui bourgeonne était devenu une ravissante jeune femme aux cheveux blonds ondulés et à la corpulence respectable quoi qu’un peu malingre. Et même si l’enfant en elle n’avait pas grandi, bien défendu par les murs du couvent et par les nonnes qui désiraient préserver l’innocence de leurs résidentes, elle était désormais une femme à marier. Ses parents avaient ensemble décidé d’un mariage pour la jeune femme et c’est pour cette raison qu’elle se dut de dire au revoir à ses anciennes camarades ainsi qu’aux sœurs qui avaient toujours été si attentionnées envers elle. Elle était désormais de retour dans leur maison de Londres, là où les souvenirs d’un passé étrange se mêlait avec la promesse d’un avenir bizarre. Ainsi, elle apprit en arrivant chez elle qu’on avait promis sa main à un autre banquier du nom de Hargreaves. Elle n’en savait pas plus sûr lui, en dehors qu’il était un riche banquier qui devait s’associer avec son père pour un avenir radieux. Bien entendu, elle ne broncha pas. Ce n’était pas là les manières d’une lady que de refuser le mariage ordonné par sa famille.  Et puis, qui pouvait-il bien être ? La curiosité d’Alice, bien loin de s’être taris avec les années, refit surface et elle entreprit donc de mener sa petite enquête. Bien entendu, mener l’enquête avec sa mère et ses gouvernantes sur le dos n’était pas chose facile. Et il était hors de question pour une jeune femme de bonne famille comme elle de se promener dans la rue sans escorte…

Ainsi elle réussit à convaincre sa vieille nourrice de l’accompagner afin d’en apprendre davantage sur son futur époux dans le plus grand secret. Car après tout, il était naturel pour une jeune fille d’être curieuse sur ce point, n’est-ce pas ? La traque débuta plutôt lentement, puisqu’il fallait commencer par apprendre ou vivait l’homme et quels étaient ses habitudes tout en ne sachant de base que nom de famille ainsi que son lieu de travail. Mais la pêche fut bonne et en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « Saperlipopette » elle épiait ses faits et gestes de derrière une rangée de livre à la bibliothèque avec sa nourrice dans le dos. Il fut plus ardus encore de dissimuler leurs gloussements que d’en apprendre davantage sur l’homme qui ne semblait pas vraiment cacher quoi que ce fut. Leur curiosité étanchés, elles purent revenir à la maison sans craintes ni soucis tout en riant comme des enfants à l’idée de ce qu’elles venaient de faire.  Aaah l’innocence.

Mais tout cela ne fut d’aucun recours à Alice, finalement. Quelques jours après leurs première entrevue, ou monsieur Hargreaves sembla un homme droit et propre sur lui toujours plus poli et attentionné, celui-ci mourut dans un accident mystérieux alors qu’il rendait visite à sa promise. La curiosité de l’enfant refit donc surface de la plus morbide des manières… Elle voulait en savoir plus sur les conditions de la mort de son fiancé, savoir ce qui avait causé le décès et qui en avait été témoin. Sa famille entière crut qu’il s’agissait là de la preuve qu’elle s’impliquait grandement dans son futur mariage, mais il n’en était rien. Elle ne voulait que savoir, savoir et encore savoir. Il allait falloir à nouveau mener l’enquête…



   
IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

   
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MessageSujet: Re: Alice Liddell ♦ Jouons ensemble Alice Liddell ♦ Jouons ensemble EmptyMer 18 Fév - 0:50
Oooh une Alice ! Je ronronne de contentement ♥

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ^^
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MessageSujet: Re: Alice Liddell ♦ Jouons ensemble Alice Liddell ♦ Jouons ensemble EmptyMer 18 Fév - 17:02
Officiellement merci, gentil chat ♥
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MessageSujet: Re: Alice Liddell ♦ Jouons ensemble Alice Liddell ♦ Jouons ensemble EmptyMer 18 Fév - 20:02


Tu es validé !



— The Alice ♥ ? Et en plus sans flirter avec l'exagération, le trop gore et le trop enfantin/fragile dans lesquelles les adaptions ont tendances à tomber en plus, c'est tout elle ! —



Tu peux maintenant aller rp sur le forum ainsi que sur la chatbox (sans en abuser). N'oublie pas maintenant d'aller réserver ton avatar, afin d'être unique en ton genre. Nous nous occupons d'ajouter automatiquement sur la liste l'origine de ton personnage s'il est réincarnation.
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Amuse-toi bien !

Le staff ~


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MessageSujet: Re: Alice Liddell ♦ Jouons ensemble Alice Liddell ♦ Jouons ensemble Empty
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