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Suite à l'épidémie de tuberculose et à l’abus de sorcelleries au cours de cette triste période, les Pénitents, une milice sans pitié qui se veut la main armée de Dieu, parcourent toujours les rues. La Reine a-t-elle perdu la tête ou le contrôle ?

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Annibale Shepherd
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 :: A Fascinating story :: Fiches de personnages :: Fiches abandonnées
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MessageSujet: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyMer 23 Déc - 19:23


I. SHEPHERD ANNIBALE


• NOM : Shepherd, né Esposito
• PRÉNOM : Annibale
• NATIONALITÉ : Italienne
• ÂGE : 19 ans
• SEXE : Masculin
• ORIENTATION SEXUELLE : Il a d’autres problèmes dans la vie que de se soucier de ça.
• MÉTIER : Attraction du Freak Show
• SITUATION FINANCIÈRE : Misérable, il n’a que ce que Sherman lui donne.
• OCCUPATIONS/PASSIONS : Manger, dormir, boire, cuisiner
• GROUPE : Après consultation et mure réflexion, Divinités…je crois ? Ou légende ?
• HISTOIRE D'ORIGINE : Polyphème, mythologie grecque


II. LES DESCRIPTIONS.


PHYSIQUE

Laid • Balafré • 2m43  • Défiguré • Osseux • Effrayant





« Approchez, approchez ! Soyez les bienvenus au cirque des horreurs ! Au spectacle des monstres ! Oserez-vous entrer ? Dans cette cage se trouve une des pires monstruosités jamais existées ! Le terrible, le cruel, l’horrible…cyclope du freak show ! »

Des cris effrayés s’élèvent dans la foule. La lumière sombre ne permet à personne de distinguer ce qu’il y a réellement dans cette cellule. Des sceptiques dénoncent une farce, un subterfuge. Un cyclope ? Créature de légendes, c’est ridicule. Et toi, couché par terre, sur de la paille, tel un animal, tu attends ton signal. Il ne faut pas bien longtemps avant qu’on te l’annonce. Une lanterne s’allume, et la lumière vacillante qui s’en échappe permet au public d’apercevoir un peu mieux ce qui se trouve devant eux. Tu remues, juste assez pour que les yeux des visiteurs qui sont encore en train de s’habituer à l’obscurité te remarquent, mais pas assez pour qu’ils puissent parfaitement te voir. Tu émets un fort gémissement, ta voix grave fait trembler la salle, et tu entends déjà des petits geignements apeurés. Petit à petit, tu te redresses. C’est autant pour l’effet spectaculaire que pour ménager tes os et tes muscles douloureux. Bientôt, tu es debout, et dans la pénombre tu observes les regards terrifiés qui se posent sur toi.

Tu dépasses largement le public, qui, le menton levé t’examine avec une certaine perversité malsaine. Bien au-delà des deux mètres, ton gigantisme est impressionnant en soi. Tes habits sont trop courts, tes chevilles et poignets dépassant largement des haillons qui te servent de costume. Et dire que lorsque Sherman l’avait fait faire, il y a à peine quelques mois, ils étaient à ta taille. Encore une fois, ta voix résonne, des sons inarticulés sortant de ta gorge, effrayant de nouveau la foule. Plusieurs lanternes s’allument, et on peut désormais discerner tes traits, et déjà, des personnes s’évanouissent.

« Observez ce monstre ! Osez approcher ! Regardez-le ! »

Ton visage est osseux, creusé, tes pommettes saillantes, résultats d’une alimentation insuffisante. Le freak show a beau tenter de te nourrir du mieux qu’il peut, ta corpulence nécessite plus de ressources que celles dont il dispose. Ton teint est cireux, grisâtre, ton front, dégarni, et tes cheveux sombres, gras et sales s’aplatissent sur ton crâne. Tes paupières lourdes te donnent un regard dédaigneux et vide. Seul ton œil droit est visible, le gauche est recouvert de maquillage pour le cacher, donnant l’illusion d’être un cyclope. Une balafre traverse en diagonale ton visage, se finissant sur une dernière défiguration : une cicatrice ouverte, exposant une partie de ta mâchoire, de tes gencives, de tes dents. Tu peux voir que même les hommes les plus robustes tremblent de peur. Certains semblent même prêts à s’enfuir en courant, d’autres à te lancer des pierres. Comme si ta laideur devait être punie.

« C’est un monstre mangeur d’homme ! A la force surhumaine ! Jamais vous ne croiserez créature plus effrayante ! »

Tu t’approches d’un pas assuré et menaçant vers les barreaux de ta cage et le tintement d’une chaîne se fait entendre. Ta cheville y est prisonnière et tu mets en spectacle ta colère, fais comme si tu voulais saisir les barreaux qui sont hors de ta portée pour venir attaquer le public. Tu cries, rugis, et dans le public, on panique. La chaîne est truquée, et les maillons pas aussi solides qu’ils n’y paraissent. D’un coup sec de la jambe, tu te libères, cassant un des anneaux, et te rues vers les barres de métal qui te séparent de la foule. En face de toi, ça pleure, ça gémit. Ces gens craignent ta force et te prennent pour un monstre. Quelle ironie. Tu n’as pas beaucoup plus que de la peau sur tes os, et es pas conséquent assez faible. Tu n’as pu t’échapper de tes liens que parce que le spectacle est une mise en scène. Ils ont peur de ton gigantisme, comme si cela te rendait automatiquement violent et brutal, alors que le simple fait de bouger te fait mal. Ta taille te handicape, te fait souffrir tous les jours, de ton lever jusqu’à ton coucher. Tes articulations crient, et tu espères à chaque minute qui passe que ton corps parviendra à se supporter.

Mais le spectacle est le plus important. Alors tu frappes les barreaux et cries, menaçant de t’échapper et de t’en prendre au public.

« Oh non ! Il semblerait qu’il se soit défait de ses chaînes ! Mes bons amis, je vous invite à quitter les lieux pour que nous puissions le restreindre ! N’oubliez pas de verser quelques pièces pour notre dur labeur ! »


CARACTÈRE

Non-violent • Débrouillard • Anxieux • Socialement inapte • Gauche • Goinfre



La fosse devant toi se vide petit à petit et tu arrêtes de taper comme une brute sur les barreaux de ta cage. Quand il n’y a plus personne tu pousses un soupir et te diriges d’un pas lent vers la porte arrière de ta cellule. A cause de ton apparence, les gens te prennent pour un monstre qui mérite sa place au banc de la société, une créature sans âme, sans pitié, un être violent et coléreux, et ils ne pourraient pas être plus loin de la réalité.

Coléreux et violent ? Toi ? Ça te fait bien rire. Le seul moment de ta vie où tu as tenté de porter un coup à quelqu’un, tu t’es retrouvé avec les terribles blessures qui te défigurent encore aujourd’hui. Non, s’il y a bien une chose à laquelle tu tiens à te tenir à l’écart, c’est les disputes et bagarres. Elles te terrifient, te rappellent de mauvais souvenirs, et tu as généralement tôt fait de quitter les lieux lorsque tu sens qu’un conflit est sur le point d’éclater. Tu ne tires rien de la violence. Elle te rend nerveux et agité. Et tu évites par conséquent toute personne susceptible d’être violente. Les gens coléreux sont les premiers sur cette liste. Non non non, coléreux et violent ne sont définitivement pas des adjectifs qui te correspondent. Bien au contraire, tout ce que tu veux dans la vie c’est un coin paisible où tu peux te poser tranquillement et avoir de la nourriture à ta disposition.  

Sans pitié ? Quelle ironie ! Tu n’es pas celui qui vient observer avec une curiosité perverse et un dédain certain des personnes qui ont le malheur de ne pas conformer aux normes physiques habituelles. Tu es bien conscient de ta laideur, mais tu ne peux rien y faire, t’apitoyer sur ton sort ne te mènera nulle part. Tu relativises en pensant qu’elle t’a même permis de te trouver une nouvelle famille. Mais d’une certaine façon, ils n’ont pas tort. Tu n’as pas de pitié, tu ne disposes pas de cette situation de supériorité qui te permettrait d’avoir de la pitié pour quelqu’un d’autre. Non, ce dont tu regorges, c’est de compassion.

Qui mérite sa place au banc de la société ? …peut-être. En tous cas, tu te sens plus à l’aise à l’écart de la ville. Elle est trop bruyante, trop agitée, il y a trop d’inconnues qui te rendent anxieux. Tout le monde t’y dévisage, et tu as toujours peur qu’on s’en prenne à toi. Bien évidemment que tu continues d’y aller de temps en temps, mais ça te stresse à chaque fois. A l’intérieur du Freak Show, tu te sens un peu plus en sécurité, tu sais qui est là, et tu as l’impression d’avoir un certain contrôle sur les circonstances du voyeurisme que tu subis. Et puis, la ville implique bien trop d’interactions sociales, auxquelles tu es loin d’exceller. Tes amis et partenaires ne cessent de te faire remarquer que tu ne sais pas comment agir en société. Ta taille inhabituelle rend ton comportement, tes gestes et ta posture maladroits, ce qui ne manque pas de gêner énormément les personnes à qui tu parles.

Non, tu préfères avoir un semblant de pouvoir sur ton environnement, être certain qu’on ne te prendra pas par surprise, qu’on ne s’attaquera pas à toi, car c’est une peur avec laquelle tu vis depuis la malheureuse altercation qui t’a value les cicatrices sur ton visage. Mais tu te martèles tous les jours qu’une telle peur n’est pas logique, pas rationnelle. Et tu te répètes à longueur de journée :

Personne te suit, Annibale. Personne va t’attaquer, Annibale. Personne.



III. L'HISTOIRE.



Tu as beau marteler ces paroles, d’essayer de te convaincre que personne ne viendra te faire du mal, tu as toujours l’impression qu’on viendra t’attaquer dans ton sommeil. Tu rejettes ce sentiment sur ton irrationalité mais loin es-tu de te douter que c’est une peur qui remonte bien plus profondément que cela. Qui remonte à un moment où ton nom était Polyphème et qu’un groupe de marins s’étaient aventurés dans ton antre pour te voler tes vivres. Ils t’ont dupé et trompé, t’ont rendu ivre et crevé ton unique œil avant de s’enfuir. Leur chef s’était présenté comme étant Personne. Et naïvement, tu as répété tes malheurs, annonçant à tous que Personne avait crevé ton œil.

~~~~~~

Tu secoues la tête et fais ton chemin jusqu’à ta tente en frottant ton œil droit pour te débarrasser du maquillage qui te gène. Certains pourraient croire que tu vis dans la misère. Et ils n’auraient pas tort. Tu as à peine de quoi manger correctement et habites sous un vulgaire bout de tissu. Tu n’es certainement pas des plus fortunés, et tu ne doutes pas que beaucoup disposent de plus de richesses que toi. Mais à comparer ta vie actuelle à celle que tu avais avant le Freak show, tu préfères celle que tu as maintenant. De loin.

Vraiment, parfois tu te demandes quand est-ce que tout a viré pour le pire. Pourtant, ta vie n’avait pas si mal commencé. Il y a plus mauvaise situation qu’être un fils de riches commerçants italiens. Tu as reçu une bonne éducation, destinée à te former comme éventuel successeur de cet empire. Mais vous êtes une fratrie nombreuse et tu n’es pas l’aîné. Dès ton plus jeune âge tu sais que tu n’es pas non plus le plus brillant de ta famille, et ta timidité maladive fait de toi un bien mauvais parleur. Mais de là à te retrouver abandonné sur les docks de Londres à quatorze ans, quelle erreur as-tu pu bien causer ? C’est une question à laquelle tu ne trouves toujours pas de réponse aujourd’hui.

Quatorze ans, l’excitation dans les veines, l’envie de faire tes preuves, tu as rarement eu un plus grand sourire que lorsque ton père t’a annoncé qu’il voulait t’emmener avec lui à un de ses voyages d’affaires. Tu t’étais inquiété du temps qu’il avait mis pour prendre cette décision. Tes frères avant toi l’avaient accompagné plus jeunes, et tu craignais que ton physique anormal t’ait porté préjudice, qu’il avait eu honte de toi, qu’il ne voulait pas te montrer à ses clients et partenaires d’affaires. C’était une réflexion ridicule car jamais tes parents n’avaient fait de remarque sur ta croissance qui semblait pourtant ne jamais finir – et jamais tu ne sauras les commentaires dégoûtés que ta famille faisait lorsque tu n’étais pas là. Alors tu as embarqué sur le navire en croyant ton père lorsqu’il a dit que parmi tous ses fils, seul toi avais une assez bonne connaissance de la cuisine pour l’aider dans cette négociation. Car si tu n’étais ni le plus brillant de ta fratrie, ton obsession pour la nourriture avait fait de toi un quasi-spécialiste des denrées alimentaires que vous vendiez. Et tu cultivais même l’espoir de devenir un vigneron ou restaurateur reconnu. Tu t’es vite rendu compte que cela n’arriverait jamais.

Quatorze ans, abandonné sur les docks de Londres, tu rejoues le voyage dans ta tête, en quête de réponses mais tu ne trouves rien. Ton comportement n’était pas différent de d’habitude. Bien sûr que tu t’es plaint de l’étroitesse du bateau, mais tu mesures presque deux mètres déjà et tu as dû te recroqueviller sur ton lit toutes les nuits, le temps que vous arriviez en Angleterre depuis l’Italie. Bien sûr que tu as bafouillé devant les partenaires de ton père, mais tu n’es qu’un gamin timide, on ne peut pas espérer de toi que tu parles couramment Anglais. Alors assis là, face à la Tamise, tu te demandes pourquoi. Pourquoi quand tu es revenu de ta balade en ville, le navire de ton père n’était plus là. Pourquoi  quand tu as couru le long du quai à la recherche d’une figure connue, tu n’as trouvé personne. Pourquoi à quatorze ans tu te retrouves sans famille, sans argent et trop loin de chez toi pour y retourner.

Tu n’es peut-être pas très brillant dans les affaires, mais tu es rapide pour te reprendre en main. Tu passes des heures à demander aux personnes sur le quai un travail. Avec ta stature, tu ne tardes pas à te faire employer comme coursier. Tu traverses la ville d’un coin à l’autre, apprenant rapidement toutes ses rues et tous ses raccourcis. Tu gagnes une misère, ne vivant que de ce que tes clients veulent bien te donner. Tu t’installes en périphérie de la ville, dans une baraque que tu partages avec d’autres jeunes hommes, tous aussi peu fortunés que toi. Mais tu vis et parviens à avoir assez pour te nourrir correctement. Plus les mois passent et plus ton travail t’est difficile. Tu ne cesses de grandir et tout ton corps te fait souffrir. Pourtant, un certain sentiment de satisfaction te remplit. Tu te débrouilles, tu t’en sors. Mais c’est toujours dans les moments où on se sent un peu victorieux que la vie en décide autrement.

Tu as seize ans, dépasses très largement les deux mètres, et traverses Londres un paquet de tissu à la main. Un commerçant voulait le faire livrer chez un tailleur dans l’ouest de Londres. Ce n’est pas réellement un quartier que tu as tendance à fréquenter. Tout y est tellement régulé, encadré. Les rues, la vie, la moindre interaction sociale est dictée par des lois. Mais tu y vas. Et là plus qu’ailleurs, on te dévisage. On te regarde d’un air curieux. Ta taille inhabituelle fait de toi quelqu’un de maladroit dans tes mouvements. Tu fais de ton mieux pour éviter tout contact physique, mais tu ne vois pas ce jeune homme devant toi, que tu bouscules dans ta hâte. Tu bredouilles des excuses et pars en courant. Avec tes jambes, il faudrait une calèche pour te rattraper. Mais sur le chemin du retour, tu le croises de nouveau. Il respire la richesse, le dédain, et il t’arrête. Il est accompagné de gros bras à l’air menaçant. Tu es peut-être grand, mais tu es surtout mal nourri. Ils ont tôt fait de te mettre à terre, et tu as beau crier à l’aide, personne ne vient à ton secours. Tu sens les coups s’abattre sur toi, encore et encore et encore. Tu as juste le temps de voir la lumière se refléter sur une lame avant de sentir une lacération traverser ton visage. Tu hurles. Et puis plus rien.

Quand tu te réveilles le lendemain, tu es à un hôpital du sud de Londres. Tu ne sais pas comment tu es arrivé là. Peut-être qu’un commerçant horrifié s’est empressé de t’envoyer aussi loin que possible mais a eu assez de pitié pour t’offrir quelques soins quand même. Tu as le visage bandé, tout ton corps te fait souffrir, et tu ne doutes pas que sous ces bouts de tissu, tu dois être effrayant. Jusque-là les gens avaient accepté de t’employer parce que ta carrure et ton efficacité étaient pratiques. Mais tu sais d’ors et déjà que personne ne voudra payer un défiguré.

Alors, tu fuis. Tu fuis ton emploi, tes clients, la ville, la société. Tu crains de faire peur, tu crains les conséquences de la peur que tu inspires. Et si on revenait t’attaquer ? Et si tu te retrouvais avec plus de blessures ? Ca te terrifie, et de plus en plus, tu te renfermes sur toi-même. Tu es pris de cauchemars, tu es persuadé qu’on te suit. A chaque pas que tu fais, tu te retournes, inquiet. Tu te répètes « personne te suit, personne va t’attaquer ». Mais ça ne calme pas la peur qui te ronge.

Quand Sherman te trouve, ça fait plus d’un an que tu vis dans les rues malfamées de Londres, à ne subsister qu’avec ce que tu trouves dans les poubelles. Tu es maigre, ton teint est grisâtre, la faim t’a fait perdre une partie de tes cheveux. Mais tu grandis toujours. C’est bien la seule constante dans ta vie. Ton visage horrible aurait suffi à te faire accepter au Freak Show, mais c’est ta taille qui impressionne le plus. On t’accueille, te nourrit, te donne un nouveau nom, parce que l’ancien t’est bien trop étranger à présent. Et quand Sherman t’expose son idée de spectacle pour toi, tu ris. Tu ris comme tu ne l’as pas fait depuis des années.

« Un cyclope ? Pourquoi vouloir m’amocher encore plus que je ne le suis déjà ?

- C’est pour le spectacle ! C’est plus théâtral !

Tu ris plus fort. Théâtral ? Sherman exagère toujours trop à ton goût, mais il t’amuse, et ce masque te donne presque l’impression qu’il faut te maquiller pour te rendre monstrueux. Que ta taille hors du commun et que les balafres qui marquent ton visage ne sont pas suffisantes pour te rendre effrayant. Qu’il faut en plus qu’on fasse croire que tu n’as qu’un œil. Et étrangement, ça te réchauffe le cœur.

Quand est-ce que ta vie a viré pour le pire ? Quand ton père t’a abandonné sur ces docks. Mais tu te dis chaque jour que ce n’est qu’un virage, que tu as le temps de reprendre en main le cours de ton existence.


IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

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The Cheshire Cat
Chester Winks
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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyMer 23 Déc - 19:32
Aaaaah un freak ♥️

Rohoho j'fais toujours des bonds quand on en a un nouveau :tropgénial:

Tu sais où nous trouver si jamais tu as des doutes pour quelque chose ~

Bon courage pour ton histoire, je suis curieux de voir le final de ce grand bonhomme \o/ !
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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyMer 23 Déc - 19:47
Re-bienvenue ~ !

Ce début de fiche, gosh ♥. J'adore déjà ton personnage, j'ai hâte de lire son histoire ! >3<
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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyMer 23 Déc - 19:51
Re-bienvenue !
Tu gères, ton personnage a l'air top. :tropgénial:
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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyMer 23 Déc - 20:54
Un copain du Show !!!! Bon courage pour ta fiche, et au plaisir de te croiser bientôt dans les allées du Freak Show !
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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyJeu 24 Déc - 10:58
Merci à tout le monde pour les compliments >///<
*lance des cookies*
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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyJeu 24 Déc - 11:23
Ton personnage est juste génial !! Son histoire est déchirante et j'ai hâte d'en lire plus dans ses RPs ! ❤
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The Cheshire Cat
Chester Winks
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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyJeu 24 Déc - 18:46


Tu es validé !



— Anw, son histoire m'a touché é.è Il est tellement adorable ce géant, et son histoire est si triste. Je veux lui faire des bisous et lui dire que tout ira bien ~
Je suis content parce que tu as aussi parfaitement compris le Freak Show de Sherman : il y a un côté malsain parce qu'il exploite clairement ses freaks en les exposant de façon monstrueuse, comme le veut le public, mais malgré tout il prend soin d'eux du mieux qu'il peut. Il n'y a rien à redire sur la cohérence de ton personnage et son entourage \o/

J'espère qu'un jour j'aurai le temps de faire un rp entre Annibale et Daniel ! (et pourquoi pas avec Inayat parmi nous ♥)

Tu es validé, amuses-toi bien avec ce grand cœur \o/ !


Tu peux maintenant aller rp sur le forum ainsi que sur la chatbox (sans en abuser). N'oublie surtout pas d'aller tout de suite réserver ton avatar, afin d'être unique en ton genre. Nous nous occupons d'ajouter automatiquement sur la liste l'origine de ton personnage s'il est réincarnation.
Si tu n'as pas encore de partenaire(s) en vue, tu peux faire une recherche rp et/ou de liens. Ensuite, tu peux créer une fiche de lien pour gérer tous tes nouveaux copains. Puis, si besoin, tu peux demander un logement quand tu seras bien lancé(e), et enfin mais surtout, si tu as des suggestions ou des questions, n'hésite pas à contacter l'administration.

Amuse-toi bien !

Le staff ~


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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyJeu 24 Déc - 18:48
Bravo et bienvenue petit géant o/
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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  EmptyJeu 24 Déc - 19:09
:anw:
*roule*

Merci tellement pour ces compliments >///<
Et je dis oui pour ce RP \o/
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MessageSujet: Re: Annibale Shepherd Annibale Shepherd  Empty
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Annibale Shepherd
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