|
| si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Rain of madness :: A Fascinating story :: Fiches de personnages :: Fiches abandonnées | Invité | Sujet: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Ven 25 Sep - 23:21 I. CAIN N. SCOTT. • NOM : Scott • PRÉNOM : Noemie « Cain » Helen • NATIONALITÉ : Britanique • ÂGE : 27 ans • SEXE : Appel à un ami • ORIENTATION SEXUELLE : Joker • MÉTIER : ex-Policier au rang d'inspecteur- détective • SITUATION FINANCIÈRE : dépendant de son colocataire • OCCUPATIONS/PASSIONS : aime tester des substance étranges, écouter le monde autour de lui, regarder les gens, faire de la courses et des exercices physiques, attendre que le temps passe. • GROUPE : Divinité • HISTOIRE D'ORIGINE : Heimdall gardien d’Asgard
II. LES DESCRIPTIONS. CARACTÈRE Désordonné • Constant • Calculateur • opportuniste • insolent • beau-parleur • apaisant • impulsif • rancunier "Cain est insolent avec ses supérieurs, trop impulsif, trop indépendant."
"Il n'écoute pas ses supérieurs."
"Il est fainéants."
"Cain est trop rebelle pour son poste." Ces phrases, ces mots murmurés ou balancés à ta figure ne te font rien, car même si tu es ce qu'ils disent, tu n'en as que faire. Tu ne les écouteras plus, car tu n'es plus dans les forces de l'ordre. Ce sont des reproches, des défauts que l'on t'accuse d'avoir, mais ce sont des défauts qui te sont bien utiles. Car sans être rebelle, tu serais toujours à suivre les ordres de ton père, sans être impulsif, tu n'aurais jamais suivi Oscar. Car si tu n'étais pas insolent, si tu n'avais pas su utiliser de tes mots, tu aurais été dans beaucoup trop d'ennuis pour en sortir vivant. Non, tu ne les écoutes pas. Car maintenant, maintenant tu n'as plus besoin de suivre les ordres, d'écouter les autres, de faire comme si tu ne savais pas ce qu'il se dit derrière ton dos. Bien sûr que tu n'es pas rancunier, tu n'es pas susceptible non plus! Ce n'est pas de ta faute si tes collègues sont plus à même de recevoir des coquarts indirect, ou à se mettre dans le pétrin sans t'impliquer. Non, tu es juste opportuniste, et puis, tu sais y faire avec les mots, toi qui ment avec tant d'application de puis ta jeunesse. Maintenant, tu as Oscar, avec qui tu t'amuses en collocation, parce qu'il ne dit que des choses vrai, et il n'est pas méchant. Bien sûr, il râle à cause de ton désordre qui s'étale, il te reproche d'être trop désintéressé, trop fainéants aussi, mais au final, tu préfères l'écouter. Parce que derrière ces reproches, il te fait quelques compliments ici et là. Ils sont rare, alors tu les chéris, et tu essayes de lui rendre un peu de ce que tu as reçu de sa part. Il te dit que tu es parfois trop attentionné. Mais cela ne te dérange pas, parce que c'est Oscar qui te rappelle parfois que le temps passe lorsque tu es resté trop concentré au point d'en perdre les heures, les jours, les nuits. C'est Oscar qui ne te reproche pas ton émotivité ou ta susceptibilité quand tu as fait des nuits blanches, et que ton corps est douloureux, qui ne se brusque pas non plus lorsque tu ne souhaites pas être poli, ou que tu es trop curieux. Oui, Oscar est bien plus intéressant a écouter que les autres, parce que les autres ne voient que ton mauvais côté, et ne pensent qu'à croire tes mensonges... Les autres s'offusquent de tes excentricités, s'étouffent dans leurs cols lorsque tu décides que tu ne veux plus prendre de pincettes avec les gens, que tu souhaites être direct, au point d'en paraitre indécent. Les autres qui te reproches d'être trop indifférent à ce qui t'entoure. Tu ne les écoutes plus, car c'est en les écoutant que tu te sens le plus mal, c'est en prêtant l’oreille à leur reproche que tu essayes de te changer, de ne plus être ce que tu es. Tu préfères être toi même, malgré tes mensonges, et écouter Oscar qui ne te demande pas d'être ce que tu n'es pas. Enfin, pas plus que tu ne l'es déjà. PHYSIQUEAsexués, une fois dévêtus Qui croire quand on les voit comme ça Comme souvent pour t’habiller tu t’observes sous toutes les coutures, afin de vérifier ce qui a encore changé, ce que tu trouves différent, ce que tu aimes et ce que tu détestes chez toi. Mais ce matin, ce matin tu n’as pas envie de haïr ton corps. Le grand miroir de ta chambre te laisse apercevoir un corps assez fin, aux muscles secs. Tu n’es pas très grand (1m66), contrairement à ton colocataire qui est heureux avec sa tête de plus que toi, mais tu ripostes avec des bottines à talonnettes, oui, ces bottines posées là, au pied de ton lit comme si tu les avais jetées la veille. Ton regard cherche dans ta chambre l’élément de base de ta garde robe, la seule chose que tu hais pour son inconfort et que tu bénis pour son utilité. C’est la seule chose qui masque au moins un peu la poitrine qui est semble-t-il normal chez une femme. Bien sûr ce n’est pas suffisant, il te faut à chaque fois prendre une chemise plus un veston pour que le volume présent paresse moins anormal chez un homme. Tu possèdes tout cela dans ton placard, normalement, à moins que cela ne soit en vrac sur la chaise ? Ou près du bureau ? Qu’importes. La seconde chose qui t’interpelle le plus sur ton corps, c’est le fait qu’il ne soit pas sans marques, même si tu n’es pas imbu de toi-même, elles te gênent parfois. Naturellement en tant que policier, tu mènes une vie dangereuse, mais tu regrettes encore le manque de soin dû à ta condition, dû à ton secret, qui est visible maintenant avec les cicatrices qui parcourent ton torse et la gauche de ton visage. Elles ne sont pas belles, et peuvent effrayer plus d’une personne, elles intimident, et si tu veux les cacher, et bien, tu dois trouver un bon maquillage, ou ne pas montrer ton visage. Un visage qui n’est d’ailleurs pas spécialement masculin ni féminin. Tu n’as pas une mâchoire carré, et malgré tout tes efforts et tes espoirs tu n’as aucune pilosité faciale. Et en regardant bien, la seule chose qui t’empêches personnellement de trouver ton visage trop féminin, c’est tes joues un peu trop émacié, et tes yeux. Mais ceci n’est qu’un détail, car vraiment, ce matin tu n’as que faire de ce que pense le reste du monde. Et puis, tu n’as jamais su ce qui faisait un visage masculin ou féminin. La pilosité faciale ? Le maquillage ? Des garçons au féminin Des filles au masculin Non, tout ce que tu sais, c’est que tu as des yeux noisettes et des cheveux noirs, court qui n’ont jamais obéi à tes ordres, une peau brune marquée par des cicatrices, sur ton front et ta joue gauche se trouvent les plus visibles, et un corps assez fin qui ne dépasse pas le mètre soixante-quinze. Tu es satisfait de ce corps, même s’il saigne tout les mois, et que ta poitrine te semble parfois difforme, que tes hanches sont un peu trop larges à ton goût un jour sur deux, et qu’au final tu n’as jamais réussi à avoir une pilosité là où tu le souhaitais. Même s’il y a des jours où tu as envie de changer, de faire disparaitre tes défauts, des jours où tu ne penses pas à mettre les bandes et que tu pries pour qu’Oscar ne remarque pas tes seins sous les chemises et vestes amples que tu as mis ces jours là. Même si la dernière fois que tes cheveux ont poussé jusqu’à atteindre tes épaules, tu as pleuré, crié et tempêté contre le monde en les coupant sans délicatesse, jusqu’à avoir une masse informe au sommet du crâne. Même si parfois tu as envie de hurler contre l'univers pour ce que tu es obligé de cacher, comme si tu étais un monstre, anormale, qui ne pourra jamais avoir ce que tu souhaites, si parfois, tu aimes ton corps et tu souhaites mettre des robes, avant de réaliser que cela t'es interdit à cause des règles de cette société restrictive... Même si parfois, tu passes un long moment à fixer ton corps comme pour te rappeler tes fautes et tes espoirs, pour te montrer à quel point tu ne pourras avoir ce que tu souhaites. Comme si, en imaginant par dessus ton image un corps un peu plus « masculin » tu pouvais oublier que tu as toujours été biologiquement « féminin ». Comme si en imaginant la robe que tu as aperçu dans une vitrine sur ta personne, tu pouvais oublier que hors de cette chambre, tu es un homme au lieu d'être une femme. Tu es habillé, de ton habituel costume, avec comme seul coquetterie, parce que tu n’es plus dans la police et donc que tu n’as plus à écouter ton père, cet ensemble de plûmes colorés qui descendent le long de ton cou et sur tes épaules. « Cain ! On est attendu chez Mme Fritz a dix heure, combien de temps prends-tu pour t’habiller ! »Le plus souvent, tu finis par oublier que ton corps n’est pas idéal lorsque tu es en compagnie des autres. Oscar est très fort pour te faire oublier les anormalités de ta vie. Ambiguë jusqu'au fond des yeux III. L'HISTOIRE. Du temps qui n'est plusDe neuf mères je suis le fils
Et le fils aussi de neuf sœurs.
Il y a fort longtemps, dans une mythologie perdue, des siècles avant notre ère, dans une période perdue par les hommes, un être est né de mère indéfinie. Il n’a pas d’appartenance à une famille, il n’a pas d’appartenance à un clan. Mais sa particularité lui a donné un but, une fonctionnalité, un rôle dans une communauté qui l’a mis à l’écart.
Il est protecteur, il est le surveillant des cieux des Ases. Son ouïe est telle que l’on prétend qu’il peut entendre l’herbe pousser sur la terre, et la laine sur les moutons. Sa vue est la meilleure parmi les dieux, de jour comme de nuit. Et son besoin faible de sommeil fait de lui l’être idéal pour protéger Asgard et ses environs.
Ainsi, Heimdall est logé loin des autres, hors d’Asgard, à côté du Bifröst qui mène vers Midgard. Et Ceci serait anodin, si cela ne signifiait pas en même temps l’exclusion totale de Heimdall, Heimdall qui n’a pas de ligné, pas de mère clairement désignée, et le père… Ne parlons pas du père.
De ce fait, Heimdall de part ses particularités, est donc mis à l’écart, car même s’il possède des richesses, même si son cheval est d’or, sa bouche similairement et son cor aussi précieux que le reste de ses biens, Heimdall est seul. Et la solitude est peut être la chose la plus horrible qu’Heimdall ai pu vivre en tant qu’Ase. Loin d’amis, d’ennemis, de toute compagnie distrayante et l’accrochant à la réalité. De cette manière, Heimdall a fini par perdre pied. Bien sûr, il surveille, il s’attend à tout, est prêt à l’action, mais au fur et à mesure que les siècles passent, au fur et à mesure que le silence à proximité l’enveloppe, il se plonge dans les mondes qui l’entour, dans les choses qui se passent au lointain. Il n’est plus avec les dieux, il est avec cette herbe qui pousse, avec ces enfants humains qui pleurent, avec cet homme qui rend son dernier souffle.
Sa réalité n’est plus Asgard, mais le reste, l’infini, le perçu et l’invisible, le grand et l’infime, le bruyant et le silencieux.
Peut être que la folie a fini par l’atteindre.
Heimdall ne saurait le définir.
Mais la vie d’Heimdall s’est terminée avec le Ragnarök, comme bien d’autre, de façon brutale et prévisible. Et sa vie n’est plus d’actualité.~~ De nos jours inconstants~~ Noemie Scott est née dans une famille aisée, dans une famille de tradition, une famille où de père en fils, le métier se transmet, le métier de policier, d’officier au service de l’ordre et de la justice. Malheureusement pour toi, tu étais Noemie, et tu étais l’ainée, enfin, l’ainée, la seule enfant de cette famille. Ton père l’a bien vécu, jusqu'à ce que ta mère, Clothilde, ne succombe à la tuberculose lorsque tu avais 4 ans, jusqu’à ce que ton père réalise qu’il n’aura jamais l’occasion d’avoir un fils, à part toi. C’est à partir de là que tu n’as plus jamais entendu ce prénom prononcé, et tu le garde près de ton cœur, à l’abri, protégé, comme un secret. « Noemie » est cette enfant qui souriait et tournait avec joie en trébuchant dans les robes pour faire plaisir à sa mère. « Noemie » est cette enfant aux cheveux noir tressés, cette enfant qui souhaitait découvrir le monde de ses grands yeux, prête à faire plaisir à sa mère, ravie de suivre les ordres de son père. Mais de Noemie tu es devenu Cain, de tes robes colorées tu es passé aux pantalons, de tes cheveux longs tu n’as plus qu’une masse de cheveux fin sur le sommet de ton crâne. A partir de tes 4 ans, tu es devenu un garçon, et tu as suivi les ordres de ton père, tu as appris tes leçons, tu les as appliquées du mieux que tu pouvais, et tu as grandi peu à peu. De jeune garçon tu es devenu adolescent. Tu l’as mal vécu. Tu avais accepté que tu étais un garçon, qui allait être un homme, qui devrait épouser une femme et avoir une famille, mais ton corps ne l’acceptait pas. Ton corps s’est rebellé contre toi, contre ta volonté. Tu as vu ton corps changer, mais absolument pas de la bonne manière. Tu t’es mis à saigner périodiquement, te terrifiant, te donnant l’impression d’être malade. Tu as eu peur de mourir, de disparaitre aussi rapidement que ta mère. Tu l’as caché, du mieux que tu pouvais. Mais ça ne s’est pas arrêté là. Ton corps a continué de se transformer en une abomination, tes hanches s’élargissant, ta poitrine se déformant au fur et à mesure des années. Complètement horrifié et terrifié tu as osé t’approcher de ton père pour lui demander si tu allais mourir. La réponse a fusé, tu étais une abomination, les hommes ne pouvait être comme cela, tu étais anormal, une absurdité du monde, presque un monstre. Réjection. Tu en as fais des cauchemars, c’était encore l’époque où tu souhaitais faire plaisir à ton père, lui obéir, être l’enfant parfait qu’il souhaitait. Mais tu l’as découvert peu à peu que c’était impossible, et que ton père étais peut être la seule raison de ton malheur. Tu as poursuivi tes études, tentant tant bien que mal de masquer les transformations que ton corps subissait, de ne pas montrer au monde cette anormalité qu’étais la tienne. Il t’a fallut tout ton courage, et beaucoup de temps pour finir par consulter un homme qui promettait la discrétion et le secret, un homme que tu as promis de balancer derrière les barreaux par tout les moyens s’il osait répéter ce qu’il t’avait annoncé. Le problème élucidé tu as réfléchi longuement, tout les mois était une routine, un cercle habituel dans lequel tu détestes ton corps pour la douleur et le stresse qu’il te faisait subir, pour tes instants de colère et de haines, mais où tu as finis par t’habituer, par l’apprécier presque sans vraiment comprendre, avant de recommencer le moi suivant. Tu es un homme, et une femme. A la fois l’un et l’autre, parfois plus l’un que l’autre par nécessité ou envie, et le plus souvent, tu es les deux, affichant l’un. L’homme. A côté de cela tu as rejoint les forces de l’ordre à tes dix-neuf ans, sous la tutelle de ton père, Lucius Scott, Préfet de police, sous l’observation constante d’un homme que tu as finis par haïr pour ce qu’il t’a fait subir. Tu as gravis les échelons avec facilité, passant de simple officier à Sergent, de Sergent à Lieutenant. Avant de te retrouver confortablement en tant que Sous-inspecteur au jeune âge de vingt-quatre ans. Le soutien paternel, la volonté du géniteur de te voir à un haut poste avant tes trente ans, ne t’a pas toujours aidé, t’apportant la jalousie et la haine des autres de te voir au même poste qu’eux, sans avoir stagné près de dix ans dans les sous grades. Ce métier ne fut pas sans danger, ni séquelles. Tu es devenu efficace par nécessité, pour survivre, pour riposter à tes collègues les plus malveillants, pour prouver au monde que ton âge n’est pas la preuve de tes capacités. Mais d’un autre côté, ta relation avec ton père t’a permis de te rapprocher de deux hommes qui sont devenu tes compagnons. Oscar Cain, et Greg. Ils te sont chers, et ce sont peut être les deux seules personnes que tu considérerais comme des amis. Tu les as suivis, tu as trouvé des points communs avec chacun deux. Oscar avec un nom et une haine commune pour ton père. Greg en fumant ensemble aux heures perdues (nombreuses) et en râlant ensemble sur l’attitude de ton père. (Ton père est un bouc émissaire parfait, et le meilleur sujet pour te faire des amis.) Tu as finis par suivre Oscar lorsqu’il a quitté les forces de l’ordre pour ouvrir un cabinet. L’incompétence des forces vous a agacé, et en moins d’un an, cela a fini par atteindre un point de rupture chez vous deux. Et puis, vous avez réalisez que la magie, bien qu’illégale, était plus efficace pour beaucoup de choses. Oscar fait des expériences, toi, tu as testé des substances vertes fluorescentes, et depuis, tu en prends régulièrement, elles te donnent des visions, la capacité de voir parfois dans le futur, le présent ou le passé, de façons aléatoire, parmi les couleurs inexistantes et les formes changeantes, ainsi que les sons autour de toi que tu perçois. Cela t’occupe pendant tes nuits d’insomnie. Tu n’es pas dépendant, enfin, pas vraiment, tu n’emploierais pas ce terme là, tu as juste un besoin un peu plus marqué pour des rêves délirants et parfois prémonitoires. Cela va faire deux ans. Tu as 27 ans, tu vis avec Oscar dans une maison à deux étages qui vous sert de cabinet. Un cabinet de détective privé, Caïn&Co, un bureau qui n’est pas encore très connu, mais qui devrait bientôt. IV. DERRIÈRE L'ECRAN. Prénom/Surnom: Abel Âge : Je peux voter, ça compte? Autres comptes : Un homme sans projet est l'ennemi du genre humain. Comment avez-vous découvert le forum : Un top site. Comment trouvez-vous le forum : il est magnifique avec des lanterne et des tasses et des trucs et des bidules beau de partout!! Avatar du personnage : Xanxus de Katekyo Hitman Reborn
FICHE PAR FALLEN SWALLOW
|
| | Invité | Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Sam 26 Sep - 0:21 Bienvenue sur le forum ^O^ j'espère que tu t'amuseras bien parmi nous ! Bon courage pour ta fiche ♥. |
| |
Messages : 380 Penny Black : 277 Date d'inscription : 04/03/2015
Feuille de personnage Métier/Occupation: Relations: | Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Sam 26 Sep - 12:26 Bienvenue sur le forum, n'hésite pas à nous contacter en cas de besoin~ Bon courage pour ta fiche :) |
| | Invité | Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Sam 26 Sep - 15:08 Merci!!!! Je n'hésiterais pas :ohcute: |
| | Invité | Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Sam 26 Sep - 18:44 Xanxus mon amour ♥ Bienvenue et bon courage pour la fin de ta fiche /o/ |
| | The Cheshire Cat Messages : 1062 Penny Black : 966 Date d'inscription : 18/12/2014 Age : 34
Feuille de personnage Métier/Occupation: Gérant du Chafouin Palace Relations: | Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Sam 26 Sep - 19:01 Bienvenue ♥
Courage pour ta fiche :) |
| | Invité | Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Sam 26 Sep - 23:45 Bienvenue ! ♥ J'attends avec impatience la partie Physique de ta fiche... |
| | Invité | Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Dim 27 Sep - 22:00 Merci pour tous ces encouragements et cet accueil chaleureux! :omg:
Et Elena, j'espère que tu ne trouveras rien à redire sur ma partie physique, que je viens de finir :bouh: |
| |
Messages : 380 Penny Black : 277 Date d'inscription : 04/03/2015
Feuille de personnage Métier/Occupation: Relations: | Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Dim 4 Oct - 19:09 Tu es validé ! — Personnage fort intéressant, je recommanderais juste une petite relecture pour quelques fautes ici et là ("tes collègues sont plus amènes ", théoriquement l'expression c'est "être à même de"), mais il n'y a rien de gravissime. C'est une fiche sympathique, je valide avec plaisir :) — Tu peux maintenant aller rp sur le forum ainsi que sur la chatbox (sans en abuser). N'oublie pas maintenant d'aller réserver ton avatar, afin d'être unique en ton genre. Nous nous occupons d'ajouter automatiquement sur la liste l'origine de ton personnage s'il est réincarnation. Si tu n'as pas encore de partenaire(s) en vue, tu peux faire une recherche rp et/ou une demande de liens qui déboucherait éventuellement sur un topic. Ensuite, tu peux créer une fiche pour gérer tout ceci. Si besoin, tu peux demander un logement, et enfin mais surtout, si tu as des suggestions ou d'autres demandes, n'hésite pas à contacter l'administration.
Amuse-toi bien !
Le staff ~ |
| | Invité | Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] Jeu 8 Oct - 22:42 Merci! Je prendrais le temps de relire le tout ce week-end pour corriger les fautes qui m'auraient échappées!
|
| |
| Sujet: Re: si tout homme ment, toute femme ment, mais beaucoup mieux [Cain N. Scott] |
| | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|