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Suite à l'épidémie de tuberculose et à l’abus de sorcelleries au cours de cette triste période, les Pénitents, une milice sans pitié qui se veut la main armée de Dieu, parcourent toujours les rues. La Reine a-t-elle perdu la tête ou le contrôle ?

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La douleur d'avancer
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 :: A Fascinating story :: Fiches de personnages :: Fiches validées
La Petite Sirène
Eurielle C. Ambrose
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La Petite Sirène
Eurielle C. Ambrose
MessageSujet: La douleur d'avancer La douleur d'avancer EmptyMar 7 Nov - 19:33


I. Ambrose Eurielle C.

 

 • NOM : Ambrose
 • PRÉNOM : Eurielle Célestine
 • NATIONALITÉ : Anglaise
 • ÂGE : 27 ans
 • SEXE :
 • ÉTAT CIVIL : Célibataire. On voudrait que je n'aime que les hommes, mais à vrai dire je connais bien plus les femmes qu'on ne pourrait le croire
 • MÉTIER : Fille d'un puissant armateur, je m'occupe de ces affaires lors de son absence
 • SITUATION FINANCIÈRE : Je pourrais dépenser milles jours et milles nuits sans m'en soucier
 • OCCUPATIONS/PASSIONS : J'aime beaucoup chanter sur un air de harpe, piano ou violon. Je couds aussi, tout comme je lis, je peints, j'écris,... Tout ce que ce doit de savoir une dame.
 • GROUPE : Conte
 • HISTOIRE D'ORIGINE : La petite sirène – Hans Christian Andersen (Ariel)


II. LES DESCRIPTIONS.


CARACTÈRE


 Jalouse • Curieuse • Manipulatrice • Convaincante • Minutieuse • Provocatrice


Fille de bonne famille, j'ai reçu l'éducation que ce doit d'avoir une demoiselle de mon statut. Mes déplacements étant quelque peu restreints, je suis restée longtemps enfermée dans les livres lors de mon temps libre. Ce qui me permit d'apprendre bien plus que ce que la vie m'a enseignée jusqu'alors. En dehors de cela, c'est ma gouvernante qui veillait sur moi, m'apprenant la couture, le chant. On aurait aussi souhaité m'enseigner quelques instruments, mais je n'arrive guère à jouer quelques notes justes. Ce n'est point mon fort loin de là, au contraire de ma voix qui suit harmonieusement les airs que l'on me joue. Et, bien évidemment, les bonnes manières, bien que j'ai encore tendance à émettre des mots que je ne devrais me permettre. Mais cela est plus fort que moi. Lorsque j'ai quelque chose à dire, j'y mets les formes mais n'omet certes pas de le faire entendre. D'autant plus que voir mes hôtes mal à l'aise m'amuse fortement. Je sais, cela ne se fait point. Mais ainsi chacun sait à quoi s'attendre avec moi, et l'on sait pertinemment qu'on ne peut m'avoir par quelques douces paroles.

Dès mes neuf ans, Père réclamait ma présence lors de ces nombreuses réceptions. J'observais, écoutais, regardais, mais ne disais mot. Ce qui me permit d'apprendre le comportement des gens et leurs manières d'agir. Beaucoup se disent qu'à se taire ainsi c'est que l'on est simplet, mais il faudrait leur apprendre à se méfier de ceux qui écoutent. De nos jours, j'accueille nos invités. Père étant rarement présent, je suis la maîtresse de cette demeure. Fille unique de la maison, il sera ensuite de mon devoir de trouver un mari afin de perpétuer notre lignée, bien que notre nom ne persistera pas.

Mais en vérité, je les jalouse tous. Eux qui se promènent si fièrement, qui dansent avec allure, qui se pavanent avec élégance. Jamais je ne pourrais faire tout cela, et en mon fort intérieur, je les hais. Ils ne doivent pas même se rendre compte de la chance qu'ils ont de pouvoir ainsi déambuler. Tandis que pour ma part, la douleur est parfois si intense que je ne peux aucunement me déplacer par mes propres moyens. Certes, je profite d'une belle vie et ne manque de rien, me direz-vous. Mais supporteriez-vous d'être cloîtrée dans une grande demeure sans rien connaître de l'extérieur ? Les rares fois où j'ai la possibilité d'en sortir, c'est lors de réception, pour le soin de mes jambes, ou lors de mes escapades nocturnes. Je n'en connais rien d'autre.

Mais j'ai la chance d'avoir un physique qui ne réveille chez aucun la méfiance. Qui donc penserait qu'une demoiselle infirme représente un danger ? Au début, on me prend pour une simplette, à écouter sans rien dire, à me voir ainsi assise sans la possibilité de me lever. Mais lorsque j'en ai assez entendu, alors j'interviens. Et là, je les surprends tous. Je concile leurs désirs et les miens, et convaincs en quelques mots que ma vérité est la seule. On ne peut tout avoir, c'est pourquoi il faut bien souvent trouver un compromit, mais ceux qui viennent à ma porte sont des personnes dans le besoin, et mes avantages se retrouvent bien souvent au-dessus des leurs. Il me faut bien avouer que Père m'a enseigné comme il se doit les ficelles du commerce. Mais ce ne fut point aisé. Bien souvent je m'étais montrée trop naïve. J'ai ainsi appris de mes erreurs et me trouve être désormais dure en affaire, comme l'est Père.

Chacun de mes hôtes est accueillit comme nul part ailleurs. L'invité est roi. Et je demande à mes serviteurs d'agir ainsi. La voix chaleureuse, le visage souriant, je les invite dans ma demeure, autour d'une table aux mets les plus délicats, en quantité plus que suffisante, avec tout le confort et le bien-être possible. J'endors leur vigilance et leurs esprits. Et lorsqu'il sont prêts, je leur parle le plus doucement et calmement possible, la voix toujours chaleureuse, les caressants dans le sens du poil. Oh bien sûr, ils peuvent s'avérer récalcitrants, alors je n'oublie pas de leur rappeler, avec toute la gentillesse du monde, que j'en sais bien plus sur eux que eux sur moi, qu'ils sont dans ma demeure et que j'y suis la maîtresse, négociant avec eux sous le titre de Père. Alors ils se laissent faire et c'est ainsi que je les ai.

Je n'agis jamais sans réfléchir longuement à mes actions, ne laissant rien au hasard. Je suis très méthodique, agissant étape par étape, quitte à prendre le plus de temps possible, tant que la finalité est la bonne. Pour cela, chaque détail compte. Je fais attention au moindre de mes mots et mes actions, minutieuse jusqu'au bout des ongles. Jamais mes sentiments ne prennent le dessus, jamais mes mots ne dépassent ma pensée. Ce doit être le cerveau qui me guide, et non mon cœur.

Malheureusement la curiosité est un bien vilain défaut, et souvent elle m'emporte vers des endroits où je ne devrais m'aventurer, taisant ma prudence. Alors je tente, j'avance, et parfois je tombe. J'apprends de mes erreurs et, trop curieuse, j'y retourne, jusqu'à une défaite trop cuisante ou jusqu'au moment où je parviens à mes fins.

Tout pour que je parvienne à mes fins.


PHYSIQUE


Entrez dans ma demeure, je vous en prie. Juste devant vous, vous me voyez assise, sur un siège doté de roues. Si vous me voyez debout, vous verriez que je ne suis pas bien grande, un mètre cinquante-cinq tout au plus. Avec une taille fine, j'ai tout de même de belles courbes féminines. Mon corps n'est pas bien épais je l'avoue, et on n'y trouve pas beaucoup de graisse. Infirme, j'entretiens beaucoup mon corps afin de n'avoir aucun insuffisance de plus. C'est pourquoi je me maintiens en forme le plus possible et mange sainement. Mais cela n'a pas bien grande importance lorsque je me retrouve dans mon fauteuil, ou encore alitée. Car mon handicap ne me permet pas de passer mes journées entières debout.

Une explication doit donc se faire. Mes jambes me font si affreusement mal que j'en suis incapable de me déplacer. On me met alors dans un fauteuil pourvu de roues, ainsi ma servante attitrée pousse le siège et me permet de me déplacer lorsque la douleur est trop importante. En d'autres cas, je peux me déplacer sans nulle aide, parfois seulement avec une canne. Celle-ci est faite du bois clair, le même que mon siège, et le pommeau à la forme d'une tête de renard, symbole qui m'est attribué. Fort heureusement, la douleur ne se fait ressentir que lorsque je me sens fatiguée, anxieuse, ou que je tombe malade.

On remarque aussi assez aisément ma crinière épaisse. C'est d'ailleurs, la plupart du temps, la seconde chose que l'on voit chez moi, après mon siège. Vous me voyez donc rousse, la couleur de cheveux qui s’approprie le plus au feu. La chance fait qu'ils sont faciles à peigner et prennent la forme que je leur demande. Vous les voyez qui encadrent mon visage et glissent jusqu'à la moitié de mon dos lorsqu'ils sont détachés. Votre regard s'oriente alors vers mes yeux, possédant à la fois la couleur brune et la couleur verte, soulignés par mes sourcils rougeoyants, sur un nez plutôt petits et des lèvres que l'on décrit comme pulpeuses. J'ai aussi la particularité d'avoir des fossettes qui décorent mes joues.

Votre regard glisse ensuite sur mon cou, orné d'un collier noir d'où pend une perle d'un rouge vif. Puis, et bien malgré moi, vous ne résistez pas à cette poitrine qui suit les saccades de ma respiration, calme. C'est alors que vous voyez ma robe. Bien malgré vous, un voile noire vient obstruer votre vue, cousu au tissu noir de ma robe. Cette dernière est dotée de bretelles par le devant, mais tout le dos, partant de la nuque où le collier cache le début de cette tenue, jusqu'au bas de mon dos, est faite de dentelle noire aux arabesques fines. Tout cela pour tomber sur mes hanches larges et glisser plus bas que mes chevilles.

Si vous pouviez voir au travers, vous verriez des bottines noires avec un lacet sur le devant. Faites de cuir, on distingue seulement quelques décorations sur le côté, plutôt simples dans l'ensemble. Mais vous ne voyez que leur bout. Avec, juste au-dessus, de simples bas tenus par des portes-jarretelles, comme je les aime, mais que vous ne pouvez guère voir apparaître. Et, tandis que vous m'observez ainsi, je vous tends ma main en guise de salut, attendant un baiser de votre part. Une main fine aux ongles longs se terminant en une pointe. Oh n'allez pas imaginer une longueur inconvenante, sans quoi cela deviendrait trop peu pratique en plus de ne pas être élégant.


III. L'HISTOIRE.


"S'il faut du courage pour se donner la mort, il en faut plus pour surmonter la douleur"


Il y avait cette histoire que mère me racontait souvent, chaque soir de mon enfance à vrai dire. Aussi longtemps qu'elle fût à mes côtés, j'avais droit à ce récit.

"Au large de la mer, l'eau est bleue comme les pétales du plus beau bleuet et transparente comme le plus pur cristal ; mais elle est si profonde qu'on ne peut y jeter l'ancre et qu'il faudrait mettre l'une sur l'autre bien des tours d'église pour que la dernière émerge à la surface. Tout en bas, les habitants des ondes ont leur demeure."

C'était le récit d'une jeune sirène, créature mi-humaine mi-poisson. Fille du roi des mers, elle tomba amoureuse d'un humain, un prince. Lui avait une âme éternelle, elle finira en écume au bout de milles années. Afin d'y remédier, elle vint à la rencontre d'une sorcière qui rendit ce rêve réalité, mais la sirène dû payer de sa propre voix, la donnant en échange de deux jambes. Ainsi, elle rejoignit la terre. Mais sa peine ne prit pas fin. Lorsqu'elle venait à toucher le sol, elle avait la sensation que des milliers d'aiguilles et de lames se plantaient dans la plante de ses pieds, laissant des empreintes de sang après chacun de ces pas. Cependant, si elle parvenait à avoir de lui un baiser au bout de trois jours, alors son âme sera elle aussi immortelle.

Ils purent alors faire connaissance, malgré l'absence de paroles de la demoiselle. Mais il rencontra une autre femme dont il tomba amoureux, ôtant à la sirène toute chance d'immortalité. Afin de la sauver, ces sœurs offrirent leurs cheveux à la sorcière afin de changer son sort. Avant  l'aube, elle devait tuer le prince. Alors elle pourra retrouver sa queue de poisson ainsi que sa vie de sirène. Sans cela, elle deviendra écume. Mais elle n'eut pas la force d'accomplir un tel acte, aussi disparut-elle.

C'est alors, contre toute attente, qu'elle eut droit à une seconde chance. Son esprit rejoignit celui d'autres sirènes. Ainsi elle comprit que sa bonne action lui avait offert l'opportunité d'avoir une âme immortelle. Durant trois cents ans son esprit flottera ainsi. Mais il y avait un moyen de raccourcir ce temps. Si, en entrant dans une demeure, elle y trouve un enfant sage et aimant, une année lui sera retirée sur ces siècles d'attente. Mais si, par malheur, elle y trouve un enfant cruel et méchant, chaque larme qu'elle versera ajoutera une journée à son épreuve.

Ainsi la petite sirène était-elle partie en quête d'une âme.

Et cette histoire m'aida bien plus que je ne l'aurais cru.

Le diagnostic tomba l'hiver de ma cinquième année. Artérite des jambes m'ont-ils dit. À partir de ce jour, on me fit une chaise dotée de roue, et j'eus comme cadeau une canne pour m'aider à avancer. Le médecin a accepté de me médicamenter, me prescrivant un médicament à fumer, uniquement couchée, car cela m'assommerait. Cela s'avéra fort efficace, bien que je n'étais plus capable même de réfléchir lorsque je m'en servais.

Mon éducation et mon enseignement furent particulièrement pointilleux. Je fus instruite par ma gouvernante, mes parents n'ayant guère le temps pour eux, ils en avaient encore moins pour moi. Père était, et est toujours, un grand armateur. Un homme puissant et riche. Tant à mère, elle tenait notre demeure et devait toujours être présente lors des réceptions. Et à chaque soir, ils m'accordaient une heure entière, rien que pour moi.

Ainsi, elle me racontait mon histoire préférée, celle de cette femme dotée de nageoires. Elle aussi avait mal à chacun de ces pas. Certes, ce n'est pas la même douleur, mais je pouvais tout de même compatir à la sienne, et elle devait comprendre la mienne. Père ne comprenait guère ce qui pouvait tant me passionner dans ce conte, mais Mère, elle, était compréhensive.

Souvent, Père et Mère partaient en voyage par la mer. Alors je restais seule dans notre grande demeure, aux soins de ma domestique attitrée, Thérèse. Mais elle était bien plus que cela, elle était ma meilleure amie. Nous nous amusions ensemble, au grand dam de ma gouvernante qui estimait qu'une demoiselle ne devait pas ni se gausser ni s’esclaffer de la sorte. Mais lors de nos jeux, je m'en moquais. J'étais jeune, et avais certainement tout le temps devant moi pour ces manières, je ne voulais que profiter de ma jeunesse, malgré ma maladie.

Lors de ma seizième année, j'eus la chance de l'avoir à mes côtés. Mère mourut en mer, et jamais on ne put retrouver son corps. Père, désespéré, se laissa aller à la boisson et se mit à voir des femmes de peu de vertus. Seule Thérèse me soutenait, me consolait. J'eus droit à un temps de répit de la part de ma gouvernante, afin que je porte mon deuil.

Nous nous sommes rapprochées d'une manière que je n'imaginais pas. Je ne m'étais jamais doutée que ces lèvres avaient un goût si sucré. Notre idylle demeura cachée aux yeux de tous. Nous nous doutions fort bien que cela ne serait guère apprécié. Elle me fit découvrir des plaisirs qui m'auraient fait rougir par leur simple pensée. Et tandis que Père continuait de noyer son chagrin, je redécouvrais mon corps.

Tout cela dura des années, et pour fêter ma majorité, elle m'invita à une soirée... particulière. Pour inaugurer cela, elle m'avait offert un masque qui cacherait la partie supérieure de mon visage. En forme de renard, sa fourrure se mêlait et disparaissait dans ma chevelure. Emmitouflées dans des capes noires, nous sommes sorties à une heure peu convenable, dans des ruelles fort peu recommandables. Pour aboutir à une partie cachée en contrebas, où nous attendaient hommes et femmes, masqués eux aussi.

Je découvris ainsi tout ce que m'offrait mon corps. Oh n'ayez crainte, ma pureté resta intacte. Les femmes ne peuvent m'ôter cette virginité qui est mienne. Elles n'ont pas, comment dire... l'outil. Pour ce qui est des hommes, je n'acceptais le contact d'aucun d'entre eux. Le bon de ces soirées est que les désirs de chacun sont respectés.

De son côté, Père m'offrit un tout autre cadeau pour ma majorité. J'eus la responsabilité de notre demeure et notre commerce, tandis que lui vagabondait parmi les eaux salées. Il ne revenait que rarement, et approuvait chacune de mes décisions, bonne comme mauvaise, trop pris par son alcool pour prêter réelle attention à mes paroles. Mais il faut croire que je n'étais guère mauvaise dans ce domaine, car l'affaire continua à proliférer.

Cependant, j'ai tout de même notre cher Reuben, qui s'occupe des finances de la société et est toujours présent lors de mes négociations afin que je ne commette nulle erreur. D'autant plus qu'il faut encore assez souvent me refréner, sans quoi j'ai tendance à trop parler.
Et à côté de cela ma gouvernante m'est restée fidèle, Hortence. Elle continue à m'enseigner les arts de la musique, couture, et tout ce qui s'ensuit. Elle aussi fait partit de mon cortège.
Bien évidemment, ma chère Thérèse ne me quitte que rarement. Avec qui je continue nos petites aventures.

Ainsi, je parlais pour lui lors des échanges commerciaux et avait le rôle d'une maîtresse de maison, que je tiens encore à ce jour. Tandis que, la nuit venue, je revêtis mon masque de renard.


IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

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Âge : Un an de plus dans moins d'un mois !
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Comment avez-vous découvert le forum : Un certain baron m'a tendu la main
Comment trouvez-vous le forum : L'idée est très originale ^^ j'ai grande hâte de m'y mettre
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The Cheshire Cat
Chester Winks
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MessageSujet: Re: La douleur d'avancer La douleur d'avancer EmptyMar 7 Nov - 23:51
Bienvenue jolie sirène !

On s'occupe de ta fiche d'ici vendredi, j'ai hâte de lire ton adaptation ♥️
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Invité
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MessageSujet: Re: La douleur d'avancer La douleur d'avancer EmptyMer 8 Nov - 2:12
Coucou et bienvenue, ma p'tite A...EUrielle !

C'est un plaisir que de t'accueillir parmi-nous,
J'ose aussi commenter sur ta fiche, du coup.

En général, ta fiche est bien, il y a quelques petites fautes de grammaire ici et là, mais c'est pas bien grave ça. La seule chose que je te demanderais en fait, serait à propos des compétences de ta p'tite dame, pour son âge ! Une précision là dessus. Si tu me dis qu'elle possède la base dans un peu tout et qu'au pire elle maîtrise un instrument ou la peinture max, ça va alors. On ne peut juste pas tout maîtriser à 27 ans. Même à 60 ans c'est difficile, ah !

Sinon, à moins que Chester ne trouve autre chose, je te dirais que c'est bon. Jolie fiche !
Plus qu'à attendre le p'tit minet. :)
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La Petite Sirène
Eurielle C. Ambrose
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MessageSujet: Re: La douleur d'avancer La douleur d'avancer EmptyMer 8 Nov - 8:08

Oulah oui c'est une bien regrettable erreur de ma part... comment bien exprimer mes pensées !
Je conçois qu'à cet âge la maîtrise est impossible, c'est pourquoi ce n'est pas le cas.
Seulement j'ai essayé de retranscrire sa vantardise, peut-être un peu trop. Mais comme monsieur Papa n'est pas là pour la remettre en place, elle a tendance à un peu trop s'y croire.
Je vais arranger cela dès mon accès à un ordinateur (sans doute dans la soirée). Fort heureusement sa gouvernante reste là pour la redresser et continuer son éducation.
J'ai quelques idées donc pour y remédier et qui, je l'espère, vous satisferons.

Edit : voilà qui me paraît bien mieux. Mes idées ont été quelques peu éclaircies, sans changer grand chose au contenu. Plus qu'à attendre la décision du minou auquel j'aurais adoré offrir une coupole de lait, du meilleur cru !
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Invité
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: La douleur d'avancer La douleur d'avancer EmptyMer 8 Nov - 22:42
Malheureusement ma belle rousse, je crois que tu n'auras pas l'occasion puisque finalement ce sera moi qui validerai ta fiche.

Pour les compétences, oui, à moins d'être prodige il est difficile de maîtriser autant de choses si jeune. Ah ! Perso, j'l'aurais bien accepté, mais ça ferait des jaloux, tu vois. :nonono:

Donc voici,

Tu es validée !



Bienvenue parmi nous, alors, ma petite sirène ! J'ai l'impression que nous pourrions nous entendre malgré la différence d'âge. J'adore la version originale de la petite sirène qui, avouons-le, est beaucoup plus triste et profonde que celle de disney. C'est donc un petit plus d'affection concernant ta fiche en sachant que tu as choisis cette version.  De plus, la façon dont tu l'as transformé et subtilisé en l'univers de ROM est absolument sublime ! L'originalité est là et l'écriture est douce et adéquate au personnage. J'espère que tu t'amuseras bien avec nous, et je suis très contente de voir de jolis personnages tel que le tiens ici !

Bon jeu !


Tu peux maintenant aller rp sur le forum ainsi que sur la chatbox (sans en abuser). N'oublie surtout pas d'aller tout de suite réserver ton avatar, afin d'être unique en ton genre. Nous nous occupons d'ajouter automatiquement sur la liste l'origine de ton personnage s'il est réincarnation.
Si tu n'as pas encore de partenaire(s) en vue, tu peux faire une recherche rp et/ou de liens. Ensuite, tu peux créer une fiche de lien pour gérer tous tes nouveaux copains. Puis, si besoin, tu peux demander un logement quand tu seras bien lancé(e). Tu as la possibilité t'inscrire sur la liste des métiers si tu es commerçant(e) ou médecin. Si tu fais parti d'un organisme particulier, comme par exemple Scotland Yard ou le Palais des Fleurs, tu y seras ajouté automatiquement.
Et enfin mais surtout, si tu as des suggestions ou des questions, n'hésite pas à contacter l'administration.

Amuse-toi bien !

Le staff ~



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La douleur d'avancer
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