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Suite à l'épidémie de tuberculose et à l’abus de sorcelleries au cours de cette triste période, les Pénitents, une milice sans pitié qui se veut la main armée de Dieu, parcourent toujours les rues. La Reine a-t-elle perdu la tête ou le contrôle ?

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« I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh
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Hansel
Lawrence A. J. Leigh
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Feuille de personnage
Métier/Occupation: Inspecteur en chef à Scotland Yard
Relations:
Hansel
Lawrence A. J. Leigh
MessageSujet: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh EmptyMar 6 Juin - 13:41


I. Lawrence E. A. Leigh


• NOM : Leigh
• PRÉNOM : Lawrence Alistair Jared
• NATIONALITÉ : Britannique
• ÂGE : 23 ans
• SEXE : Masculin
• ÉTAT CIVIL : Célibataire et hétérosexuel
• MÉTIER : Inspecteur en chef à Scotland Yard
• SITUATION FINANCIÈRE : Aisée
• OCCUPATIONS/PASSIONS : La lecture, la culture, apprendre des choses, les énigmes, l’escrime
• GROUPE : Conte
• HISTOIRE D'ORIGINE : Hansel de Hansel et Gretel


II. LES DESCRIPTIONS.


CARACTÈRE


Calme • Distant • Réservé  • Borné • Fier • Vif d’esprit • Courtois • Galant • Perfectionniste • Désordonné • Aimable • Ambitieux • Audacieux • Autonome • Cultivé • Sarcastique • Malin • Patient • Respectueux • Stratège • Narcissique


De prime abord, on ne peut pas dire que Lawrence soit quelqu’un de très avenant à qui on viendrait parler spontanément. Il paraît froid, distant, presque agressif parfois. Dans un sens, ce n’est pas qu’une apparence. Disons plutôt qu’il est ainsi avec les inconnus, surtout ceux qui ne lui inspirent pas confiance et également lorsque les convenances ne l’obligent pas à être aimable et courtois. Mais cette façade n’est pas là par hasard. Il est bien plus facile de se débarrasser de quelqu’un d’inintéressant lorsque cette personne ne vous aborde jamais. Bon, bien sûr, ça n’empêche pas certains de tenter l’expérience quand même, mais disons que ça fait déjà un petit tri.

En parlant de convenances et de gens inintéressants, malheureusement, ces deux-là sont de paires. Venant d’une famille noble de la société britannique, Lawrence s’en est coltiné, des réceptions où tout le gratin dauphinois était présent. Et il s’en coltine encore, grâce à sa chère mère... Enfin bref. En tous cas, bien entendu, dans ces moments-là, pas question de faire mauvaise figure et c’est ce que notre jeune aristocrate s’applique à faire, comme on le lui a appris. Non pas que ça lui déplaise forcément, mais plutôt que ça l’ennuie, et parfois profondément. Faire de nouvelles rencontres, c’est bien. Faire de nouvelles rencontres utiles, c’est mieux. Malheureusement, ça n’est pas toujours le cas. En plus, on ne choisit pas toujours ces nouvelles rencontres, pas plus que les contacts qu’on gardera, d’ailleurs. Il peut y avoir des gens très intéressants, et heureusement, c’est les rencontres que Lawrence préfère, bien entendu. Mais souvent, ce sont ces personnes très incultes et superficielles avec qui il déteste devoir parler. Mais pas le choix. Honnêtement, ce qui ne le déçoit jamais dans ce genre de réceptions, c’est la musique.

La musique, Law l’adore. Et pourtant, comble de l’ironie, il n’a jamais été capable d’en jouer correctement. En produire ne l’intéresse pas vraiment, mais c’est véritablement l’écouter qui le transporte à chaque fois. Quel que soit le genre de musique ou d’instrument, à vrai dire, tant que le compositeur était compétent. Autrement, ce qui n’est pas déplaisant lors de ces soirées mondaines est la nourriture. On y sert toujours des plats très raffinés, et notre blondinet sait toujours les apprécier. Même si, à vrai dire, manger un peu trop lui avait toujours donné la nausée et ce, depuis son plus jeune âge. Il n’a pas un appétit d’oiseau, ou pas tout le temps, mais il ne mange jamais plus que nécessaire et peut sauter un ou deux repas sans difficultés. Cependant, ce dont Lawrence a toujours eu en horreur, ce sont les sucreries. De la même façon, depuis son plus jeune âge, ce genre de douceurs lui ont toujours laissé un goût amer dans la bouche, comme si cela lui rappelait un mauvais souvenir mais dont il ne parvenait pas à se rappeler. Sûrement un traumatisme de l’enfance, enfouit dans son inconscient. Il ne le saura peut-être jamais.

En tous cas, du plus loin qu’il se souvienne, notre petit Law a toujours été un modèle de calme et de sagesse. Enfin à quelques exceptions près, peut-être, lorsqu’il était petit. Mais bon, il a très vite compris qu’il valait mieux rester dans son coin -se référer à l’histoire pour plus de détails-. Ainsi, il passa une partie de son enfance et le plus clair de son adolescence dans les bouquins. C’est là qu’il s’aperçut de la mémoire photographique extraordinaire qu’il possédait, en parvenant à retenir presque tout ce qu’il lisait, et qu’il était capable de lire bien plus vite que la moyenne. Ou… Peut-être était-ce à cause de la quantité astronomique de bouquins qu’il s’enfilait qu’il finit par développer une technique inconsciente de lecture bien plus efficace que la moyenne. En vérité, il ne saurait le dire. Enfin bref. En tous cas, lire était devenu une de ses passions. Curieusement, il parvient à s’intéresser à tout. La moindre information trouve un intérêt à ses yeux et comprendre le lien entre les choses et le pourquoi du comment est une de ses activités favorites, encore maintenant. Ainsi, l’autre partie de son temps qu’il ne dépensait pas dans la lecture, il la passait dehors, à découvrir d’autres choses par lui-même, sans les bouquins. En effet, le fait que la théorie et les livres ne faisaient pas tout fût une des premières choses qu’il comprit. Dehors, il observait donc les choses de ses propres yeux, faisait des rencontres plus ou moins intéressantes et constructives et constatait des phénomènes tout aussi instructifs que les livres. Ah, une autre passion à laquelle il dédiait une bonne partie de son temps également : l’escrime. Ce sport représentait beaucoup pour lui. Autant une activité sportive dans laquelle il pouvait se dépenser, qu’un moyen de se défendre, ainsi qu’un art à maîtriser et à pratiquer.

Mais avec cette passion pour la lecture, la découverte et la culture, vint bientôt ce qui est sûrement aujourd’hui sa plus grande passion : les énigmes. En résoudre lui permet autant de satisfaire son égo qui, on peut le dire, est assez conséquent, que de rendre service aux autres. La preuve, il en a fait son métier en entrant à Scotland Yard, bien que travailler pour les gens de son rang n’était pas toujours bien vu. Tant pis. De toute façon, il était le cinquième enfant d’une fratrie uniquement masculine. Il était plus ou moins libre de faire ce qu’il voulait. Et il y comptait bien. On parlait de son égo, c’est principalement à cause de sa situation familiale qu’il en est arrivé là. Mais il y aura plus de détails dans l’histoire. C’est vrai, Lawrence est narcissique et, en soi, assez orgueilleux, mais cela ne veut pas dire vantard. Pour lui, il sait juste ce qu’il vaut, et ce n’est pas rien, il faut se le dire, et ne laisse personne le faire douter. Il sait vendre ses services et sait également manipuler les mots avec un certain savoir-faire qui fait qu’il obtient souvent ce qu’il veut. En effet, le blondinet peut être extrêmement borné quand il veut, c’est-à-dire à chaque fois qu’il veut obtenir quelque chose en particulier, en fait.

Cependant, il y a quelque chose que Law n’a jamais pu obtenir. Pourquoi ? Et bien tout simplement parce qu’il ne savait pas lui-même ce qu’il voulait, ce qui lui manquait. Et pourtant, cette sensation de vide, de manque, a toujours été là, du plus loin qu’il se souvienne, au plus profond de lui. Une sorte de mal de vivre qui ne l’a jamais quitté, qui le rendait parfois très mélancolique. Il avait parfois ces impressions de déjà-vu ou des moments nostalgiques où il avait l’impression de toucher cette Chose qui lui manquait du bout du doigt mais l’instant d’après, Ça lui échappait, ce qui avait le don de le mettre dans une méchante rogne. Mieux valait ne pas trop l’embêter dans ces moments-là, d’ailleurs. Il a essayé de combler ce trou par beaucoup de choses mais ça n’a jamais suffi. A vrai dire, il n’y a que lorsqu’il se plonge dans les livres ou dans une affaire qu’il parvient un peu à oublier. En tous cas, c’est encore et toujours là… Ou absent, justement. Mais quoi ? Ça aussi, il ne le saura peut-être jamais.

Ah, et encore une chose… Lawrence éternue comme un petit chat mais il ne l’assume pas -bien entendu. Donc si vous cherchez un moyen de pression…-


PHYSIQUE


Comme dit précédemment, Lawrence n’a pas l’air très avenant, comme personnage. Ça ne serait pas surprenant si les passants se contentaient de l’observer, ou même de l’admirer, de loin, plutôt que de l’aborder. Après tout, il est déjà difficile de l’intercepter en pleine rue… En effet, sa démarche droite et altière ne laisse aucun doute sur son origine noble et son allure vive et rapide prouve qu’il n’a pas de temps à perdre. Tout ceci, en général, explique pourquoi on laisse le blondinet plutôt tranquille. Dans la rue, en tous cas. Et ce n’est pas lui qui va s’en plaindre. Pourtant, il n’est pas particulièrement imposant. Fin, du haut de son mètre soixante-huit -1m68-, il se fond plutôt bien dans la foule, se situant dans la moyenne. Même s’il aurait peut-être aimé être un peu plus grand afin d’avoir des membres plus allongés rien que pour la pratique de l’escrime, et ainsi disposer d’une plus grande envergure de frappe, sa taille lui convient. A contrario, être plus petit l’aurait sûrement complexé un peu plus.

En effet, notre bien-aimé inspecteur n’a pas toujours été bien dans sa peau. Des traits jugés trop fins, une allure pas assez virile. Oh, il s’en serait sûrement très bien sorti de ce côté-là s’il avait été fils unique. Malheureusement, la dureté dont peuvent faire preuve parfois les fratries envers le cadet, même sans méchanceté véritable, a eu raison de lui. Les moqueries et les surnoms reçus plus jeunes l’ont fait passer par une période peu flatteuse pour son égo. Mais c’est pas plus mal. Au final, aujourd’hui, il a réussi à acquérir une grande estime de soi qui lui permettent d’ignorer tout ce qu’on peut bien dire de lui, que ce soit en bien ou en mal. Mais là n’est pas le sujet. La finesse de ses traits et de son corps n’étaient pas les seules cibles des vacheries enfantines.

Ses cheveux ? Ça aurait pu. Après tout, ils sont d’un blond doré assez irréels. Mais non. Cela, il n’était pas le seul dans son entourage à le posséder donc ça ne faisait pas de lui le vilain petit canard. Non. Ce qu’il avait vraiment du mal à accepter, et ce qui fût sûrement le plus gros complexe de sa vie, c’était ses yeux. Ils étaient fins, bien dessinés, légèrement en amande, mais ce qui était la raison des souffrances enfantines et adolescentes de Lawrence était leur couleur. Ou plutôt, leurs couleurs, au pluriel. En effet, le cadet des Leigh était né avec l’œil droit d’un marron plutôt banal et l’œil gauche, d’un bleu électrique assez vif, qui jurait presque avec le blond de ses cheveux.

Certes, ce n’était pas forcément moche, mais cela attirait indéniablement les regards partout où il allait. Oui, ce n’était pas courant, même si, paraît-il, il ne savait quels ascendants dans sa famille avaient cette même particularité. Honnêtement, il s’était toujours moqué de qui il pouvait tenir ce caractère physique ou même, s’il le tenait vraiment de quelqu’un. Il l’avait, c’était un fait. Et ce ne fût pas un cadeau, pendant un moment. Mais tout ce ceci est à découvrir plus bas, dans l’histoire. A présent, en même temps qu’un certain narcissisme retrouvé, le jeune homme utilise plutôt cette particularité comme un atout, la mettant en valeur. Il plaque le plus souvent ses cheveux en arrière, découvrant son visage. Bon, en vérité, il n’a pas complètement perdu l’habitude de la mèche de cheveux qu’il utilisait pour se cacher plus jeune, mais elle ne cache plus autant son visage et sert plutôt d’effet de surprise à présent, dissimulant légèrement le brun de son œil droit jusqu’à ce que d’un mouvement de tête, il ne soit complètement révélé aux curieux, dissipant tout doute à ce sujet.

Cependant, bien qu’à présent il assume plus l’extravagance que lui a donné la nature, ce n’est pas pour autant qu’il y soit tombé complètement. Il continue à mettre les vêtements les plus discrets possibles, choisissant des couleurs plutôt froides et sombres, qu’il juge plus discrètes, comme du bleu nuit avec quelques touches de bleu roi, du vert émeraude ou sapin, ou encore des violets aubergines. Enfin tout cela, c’est sans compter les réceptions que sa mère s’évertue à donner en l’honneur de son fils, où celui-ci n’a pas toujours le choix de la tenue. Cependant, ce qui ne le quitte jamais, c’est sa canne. C’est toujours distingué, surtout que celle du gentilhomme qu’est Lawrence est un peu particulière. C’est une canne épée, forgée pour lui, au pommeau sculpté, en forme de tête de loup, et dont la lame argentée est très tranchante. Il ne s’en sert que pour se défendre mais cela se révèle nécessaire, avec le métier qu’il fait, ou même lorsqu’il doit arpenter des rues sombres et désertes à la tombée de la nuit. En tous cas, il en prend toujours grand soin.

Il possède également une cicatrice assez vilaine et qui passe difficilement inaperçue, qui commence sur le côté droit de sa mâchoire -elle dépasse un peu sur sa joue- et qui descend le long de son cou pour s'étendre sur toute son homoplate droite -là où elle et la plus large- pour terminer au milieu de son dos. Cette cicatrice, il la déteste toujours, malgré le fait qu'il arrive à vivre en supportant le poids de sa culpabilité, car elle lui rappellera toujours, quoiqu'il arrive, ce jour funeste où il priva son frère de sa mobilité. Mais il ne cherche pas particulièrement à la cacher, ou pas toujours en tous cas. Comme il reste toujours très silencieux à propos de son origine, des rumeurs diverses ont commencé à circuler dans les rues où on le connaît, et même à Scotland Yard. Parfois cela implique l'arrestation d'un gang de dangereux malfaiteur, parfois une captivité accompagnée de tortures, d'autre fois le combat avec une bête féroce échappée d'un cirque. À ce stade-là, vous pouvez vous-même inventer et répendre votre propre version.
Petite curiosité : sa cicatrice le démange lorsque la pluie est iminente.


III. L'HISTOIRE.


Conte

Il était une fois un pauvre bûcheron qui vivait dans la forêt avec ses deux enfants, des jumeaux, Hansel et Gretel. Ils auraient pu grandir heureux avec leur père si c’était sans compter leur belle-mère. Celle-ci, craignant la famine, convainquit son mari de perdre les enfants dans la forêt, ça ferait deux bouches en moins à nourrir. Cependant, les enfants avaient tout entendu et décidèrent, avant de partir le lendemain avec leur père en forêt, de ramasser des petits cailloux blancs dans l’allée menant à la maison pour les semer en chemin. Ainsi, une fois que leur père les eut perdus, ils n’eurent qu’à suivre les petits cailloux pour retrouver le chemin de leur maison.

Le bûcheron ne pût réfréner sa joie de les revoir mais ce ne fût pas le cas de sa femme qui l’obligea à réessayer le lendemain, ce qu’il fût contraint d’accepter, encore. Cependant, cette fois, la bonne femme qui avait découvert l’astuce, fit en sorte que les enfants ne puissent emporter aucun petit caillou. Ils partirent alors avec un seul quignon de pain en poche comme dernier repas. Ils décidèrent alors de l’utiliser en l’émiettant sur le chemin mais lorsqu’ils furent à nouveau abandonnés dans la forêt profonde, ils ne purent retrouver le chemin de leur maison. En effet, les oiseaux de la forêt avaient picoré toutes les miettes de pain, ne laissant aucune trace de leur passage.
Cependant, ils ne se laissèrent pas abattre. Se tenant par la main pour se donner du courage et surtout pour ne pas se perdre l’un et l’autre, ils continuèrent leur marche dans les ténèbres de la forêt peu accueillante.

C’est alors qu’ils tombèrent sur une maison, dans une petite mais lumineuse clairière. Une maison… De pain et de sucreries. Affamés, ils commencèrent d’abord par la grignoter, sans se présenter à l’habitante de la maisonnette. Mais celle-ci sortit bientôt de sa demeure, pour proposer aux enfants de se restaurer autour d’un bon banquet, ce qu’ils acceptèrent sans tarder.

Mais la vieille femme n’était pas une femme comme les autres, c’était une sorcière. Une sorcière qui ne souhaitait que manger ces jeunes enfants pour son dîner. Ainsi, elle les captura mais, se rendant compte de leur maigreur à cause de la famine, elle décida d’enfermer Hansel dans une cage afin de l’engraisser et de prendre Gretel comme esclave. La pauvre fillette était obligée de cuisiner des plats gras et bien garnis destinés à engraisser son frère.
Régulièrement, la sorcière demandait à Hansel de lui donner un de ses doigts pour vérifier l’avancement de son engraissement. Celui-ci, malin, lui donnait à chaque fois un os du poulet ou du bœuf qu’il venait de manger. Ainsi, la sorcière à moitié aveugle, ne se rendait compte de rien et décidait d’attendre encore pour qu’ils grossissent et les deux enfants gagnaient du temps.

Mais c’était sans compter la patience de la sorcière qui commençait à s’essouffler. Bientôt, malgré l’état de maigreur constant d’Hansel, elle décida de le manger quand même et ordonna à Gretel de préparer le four. Mais lorsqu’il vint le temps de vérifier que le feu brûlait bien, la petite fille prétexta d’être trop petite pour le faire et demanda à la sorcière de le faire elle-même. Alors, quand celle-ci se pencha au-dessus du four, la fillette la poussa à l’intérieur et referma la porte du four derrière elle. C’est ainsi que la sorcière périt dans les flammes.
Gretel se précipita alors pour libérer son frère puis tous deux dérobèrent les objets de valeur de la sorcière avant de fuir la maison de pain et regagner leur foyer, sain et sauf, et ramenant de quoi vivre aisément à leur père qui chassa la méchante belle-mère cette fois.


Une nouvelle vie

Lawrence, autrefois Hansel, n’est pas né tout seul. Ou, en tous cas, il n’était pas censé l’être. Et pourtant, un malheureux concours de circonstances l’amena à venir au monde tout seul, aux côtés d’un cadavre. En effet, celui qui devait être son frère jumeau était mort avant même de sortir du ventre de sa mère, ce qui chagrina beaucoup celle-ci. D’ailleurs, elle donna même à son nouveau-né encore en vie le nom destiné à son défunt frère. Ainsi, il devint Lawrence Alistair Jared Leigh au lieu de Lawrence Jared Leigh. C’est sûrement aussi à cause de cette perte considérable que sa mère se montrait un peu trop protectrice et attachée à son bébé. Et pourtant, ce n’était pas les fils qui lui manquaient, ça non. Lawrence, malgré son jumeau mort-né, avait quatre autres frères, tous plus âgés que lui. Etait-ce une bonne chose ? Sûrement oui, vous me direz. Les grands frères sont censés montrer l’exemple à leurs cadets, leur faire découvrir la vie, les protéger. Ils auraient pu le faire. Mais ce ne fut pas le cas. Peut-être avaient-ils jugé la fratrie assez grande avant l’arrivée du dernier. Ou peut-être était-ce la trop originale particularité de ses yeux qui les perturbait ? En tous cas, quelle qu’en soit la raison, les frères ainés Leigh ne se prièrent pas pour embêter leur cadet.

Lawrence grandit donc dans la noble famille des Leigh, effectuant avec ses frères toutes les activités qu’un enfant de bonne famille pouvait pratiquer : leçons dispensées par un précepteur à domicile, cours d’escrime par un entraîneur réputé... Le père Leigh était à la tête d’une grande industrie de tabac à l’international, qui devait bientôt être reprise par l’aîné de ses fils, Edward. Celui-ci n’en était pas peu fier d’ailleurs. Mais malgré le fait que la fratrie Leigh passait la plupart de leur temps ensemble et faisait presque les mêmes activités, ce n’est pas pour autant qu’ils eussent totalement adopté le petit dernier. Non pas qu’ils le mettaient réellement à l’écart, mais plutôt que, la plupart du temps, ils le taquinaient, lui lançaient des pics sur son apparence maigrichonne, sur ses yeux, ils le rabaissaient de temps en temps, histoire d’être sûrs qu’il ne prendrait jamais le pas sur eux, étant donné qu’il avait déjà les faveurs de la mère. Oui, il y avait peut-être un peu de jalousie derrière, un peu d’injustice. Mais ils ne se rendaient sans doute pas compte qu’ils faisaient tant de mal.

En effet, le petit dernier vivait assez mal les taquineries de ses frères. Si ce n’était pas réellement méchant et mauvais à la base, mais Lawrence avait vite fait d’amplifier les mots dans sa tête qui, parfois, ne le quittaient pas pendant des jours. « Tu es trop faible, comment veux-tu te battre correctement à l’escrime ? » « Arrête de répéter tout ce que tu apprends par cœur, ça ne fait pas de toi quelqu’un d’intelligent ! » « Tu n’es pas comme les autres, tu as vu tes yeux ? » « C’est peut-être bien l’œuvre du mal ! » Bien entendu, ses frères plus costauds, moins assidus aux leçons et plus « normaux » n’étaient pas confrontés à ce genre de problèmes. Sans doute cherchaient-ils simplement à se mettre en valeur sans le moindre effort dans l’apprentissage. Et ça allait de nouvelles moqueries à chaque fois que le blondinet essayait de manifester sa présence, si bien qu’il se mit à cacher son œil gauche à la couleur si spéciale derrière une épaisse mèche de cheveux, priant pour qu’on ne le remarque pas en la présence d’invités, d'amis ou d'inconnus, ce qui attirait souvent les foudres de ses parents ou des servantes car ce n’était pas digne de son rang. Parfois sa mère s’évertuait à lui raconter qu’il avait hérité de l’œil de son défunt frère pour qu’il vive à travers lui, mais ça ne le consolait pas outre mesure. Tous ces gens ne comprenaient pas à quel point tous ces regards et ces moqueries d’enfants, même s’il elles n’étaient pas toujours destinées à blesser, pouvaient faire mal. C’est ainsi que petit à petit, sous le poids des moqueries d’enfants et des reproches des adultes, il se renferma dans la lecture, et dans la pratique de l’escrime. Il était trop faible ? Anormal ? C’est ce qu’ils allaient voir ! Il allait s’entraîner dur et il battrait son plus grand frère à l’épée ! Comme ça, il serait forcé d’admettre que lui aussi était tout aussi capable qu’eux ! Qu’il avait de la valeur !

Ainsi, le petit Leigh s’entraîna très dur, prenant tout le temps qu’il ne passait pas à étudier pour pratiquer l’escrime avec son maître qui accepta très volontiers de lui donner des leçons supplémentaires, voyant sa détermination.
« Jeune maître, votre corpulence est votre force. Plus longiligne vous êtes, moins votre adversaire a de chance et d’opportunités de vous toucher. », lui répétait-il sans cesse.

Bientôt, Lawrence devint presque meilleur escrimeur que son propre maître, malgré son jeune âge. L’heure était venue de prouver sa valeur. Encouragé et accompagné par son maître qui n’était pas peu fier de son élève, il convia toute la famille, même son père qui pour une fois, n’était pas en voyage d’affaire -Lawrence avait fait exprès de choisir ce jour-là-, et provoqua ouvertement Edouard, héritier de l’entreprise et de la fortune familiale, en duel. Celui-ci ne pouvait pas refuser, surtout pas devant son père qui plaçait tant d’espoir en lui. Mais Ed n’ignorait pas le niveau de son petit frère qu’il avait pu constater aux dernières leçons communes d’escrime. Alors il décida de gagner, par n’importe quel moyen, pour ne pas perdre la face devant l’homme qu’il admirait le plus au monde.

Le duel commença et, bien entendu, dès le départ, le cadet prit un avantage considérable, à la grande surprise de Sir Leigh qui ne suivait pas vraiment les progrès de ses enfants, et à la joie de Miss Leigh qui s’émerveillait de l’assurance et de la détermination qu’avait acquis son fils préféré. Ainsi il enchaînait coups, parades, feintes et estocades avec une aisance déconcertante. Et pourtant, alors qu’il mettait en application sa stratégie d’attaque pour désarmer et battre son frère une fois pour toute, celui-ci lui lança sans vergogne au visage la poignée de sable qu’il avait ramassée un peu plus tôt et qu’il tenait depuis le début du combat dans le poing fermé dans son dos, aveuglant son adversaire qui n’eût d’autre choix que de se stopper net dans son élan pour se protéger le visage en vain. Profitant de sa faiblesse, Edward ne se gêna pour le pousser à terre et le désarmer, se proclamant vainqueur du combat. Personne n’avait véritablement vu ce qu’il s’était passé, étant trop éloigné, même si tout le monde se doutait que ce n’était pas normal que Lawrence se stoppe dans son élan de cette manière. Et personne ne dit rien. Le père parce qu’il ne pouvait décemment pas décrédibiliser son héritier au profit du simple cadet, la mère car elle ne pouvait pas admettre que son aîné ait pu faire quoique ce soit pour nuire à son frère, les autres parce qu’ils avaient toujours suivi le plus grand, et les serviteurs présents parce qu’ils ne pouvaient se permettre de prononcer la moindre accusation. Seul le maître d’arme sembla se soucier de l’état de son élève en se précipitant pour l’aider à se relever mais lui non plus ne pouvait se prononcer comme les autres domestiques, ne pouvant s’attirer les foudres de son employeur qui gardait un visage impassible devant la scène.

Alors que le tricheur proclamait sa victoire en profitant une énième fois de l’occasion pour rabaisser son frère, Lawrence ne se fit pas prier pour invectiver son frère et l’accuser de tricherie devant tout le monde. Mais alors qu’il recouvrait la vue avec difficulté et appela l’assemblée à témoigner, il se rendit compte avec effroi que personne ne réagissait et n’oserait le faire. Sentant une rage sans nom monter en lui et prendre le contrôle de tout son être, il se défit violemment de la poigne de son protecteur et fonça sans réfléchir sur la masse que représentait tout ce qu’il haïssait le plus au monde en cet instant. Sans doute la colère noire qui l’habitait décupla sa force car il n’eût pas l’impression que l’impact avec le poitrail de son frère apposa une résistance outre mesure, pas plus que le rebord de la fenêtre en face, d’ailleurs. Le verre se brisa, infligeant de multiples coupures aux deux adversaires qui tombèrent ensuite dans le vide pour aller s’écraser dans la pelouse deux étages plus bas.

Lawrence perdit connaissance sur le coup, tout comme Edward sûrement. Ce n’est qu’un peu plus tard, le temps que Lady Leigh reprenne connaissance après avoir défailli devant la vision de ses deux fils tombant dans le vide et que tout le monde ne descende les rejoindre en bas, que Lawrence reprit ses esprits. Il était allongé sur le corps de son aîné qui gardait ostensiblement les yeux fermés, un filet de sang coulant de sa bouche, sa chemise tâchée par le même liquide, et une petite flaque s’étendant petit à petit autour d’eux. Ce n’est qu’en ayant cette vision et en se rendant compte de ce que celle-ci représentait que le blondinet s’affola à son tour, comme le reste de la famille et des domestiques. Il se mit à appeler son frère et à le secouer pour le réveiller, sans résultat, alors que sa mère faisait un énième malaise devant cette vision d’horreur. Le jeune garçon sentit à peine qu’on le tirait en arrière pour l’éloigner du corps alors que les larmes commençaient à couler. Il ne voulait pas admettre ce qu’il venait de faire. Il ne pouvait pas mourir, pas maintenant, pas de ses propres mains. Finalement, on ne réussit à le maîtriser totalement qu’une fois un calmant administré après que les médecins soient arrivés sur les lieux.

Lawrence ne se réveilla que plusieurs heures plus tard, dans son lit. Un pansement lui couvrait le côté droit de la mâchoire, le cou et s’étendait, il pouvait le sentir, jusqu’au milieu de son dos. Il sentit alors une douleur qu’il n’avait pas remarqué plus tôt qui lui brûlait la peau, sous les bandages. Lorsqu’il tourna la tête, il put apercevoir sa mère, assise à son chevet. Son maître d’arme n’était pas loin. Miss Leigh s’enquit tout de suite de la santé de son fils, mais celui-ci ne daigna même pas lui répondre. Pas par mépris pour elle, il avait toujours beaucoup aimé sa mère, même parce qu’à cet instant, il se préoccupait bien plus de l’état de son frère que du sien. Lorsqu’il posa la question, un lourd silence lui répondit d’abord, simplement brisé par la dame qui se mit à sangloter. Lawrence se mit à craindre le pire… Le professeur prit alors la parole, constatant l’incapacité de sa maîtresse à répondre par elle-même et informa son jeune élève de l’état de son grand frère. Edward n’avait toujours pas repris connaissance, il était en ce moment entre les mains des médecins qui s’affairaient encore autour de lui sous les yeux de son père et de ses trois autres frères. Savoir qu’il était toujours en vie soulagea quelque peu le cadet, même s’il savait que rien n’était encore joué. Madame Leigh ne pouvait supporter la vue de son fils dans le coma. Elle avait toujours été comme ça, émotive et fragile. Mais Law ne pouvait pas lui en vouloir.

Le blondinet patienta donc, le temps de se remettre et de pouvoir voir son frère, priant pour qu’il se réveille le plus vite possible. Et son souhait fut bientôt exaucé, grâce au ciel ! Quel ne fût pas le bonheur de toute la maisonnée lorsqu’Edward reprit enfin connaissance après des jours de coma ! Mais ces réjouissances furent de courte durée… L’aîné Leigh ne mit pas très longtemps avant de se rendre compte qu'il ne sentait plus ses jambes. A cette nouvelle toute la famille fût mise dehors pour que les médecins effectuent leurs tests. Et, bientôt, le verdict tomba : Edward ne pourrait plus jamais marcher, il passerait le restant de ses jours infirme, dans un fauteuil roulant. A cette révélation, le monde de Lawrence s’effondra à nouveau autour de lui. Il ne marcherait plus jamais. Son frère ne marcherait plus jamais à cause de lui. Lui et seulement lui. Qu’est-ce qui lui avait pris de passer par cette foutue fenêtre avec lui ? Pourquoi avait-il fait ça ? A cet instant, le jeune garçon aurait tout donné pour remonter le temps.

Après ça, durant longtemps Ed refusa de voir qui que ce soit. Lawrence fit de même de son côté, il ne laissa plus personne l’approcher, pas même sa mère ou son maître d'arme. Il se réfugia dans les livres pour s’échapper de cette affreuse réalité et redoutait de passer devant un seul miroir nu, de peur de voir à nouveau cette vilaine cicatrice qui lui barrait le cou, de la mâchoire jusqu’au milieu du dos, et qui lui rappelait beaucoup trop ce qu’il avait fait. Il n’arrivait pas à se le pardonner. Il serait sans doute resté enfermer de cette façon jusqu’à la fin de sa vie si, une fois qu’il eût accepté sa condition et qu’il ait à nouveau daigné montrer le bout de son nez, Edward n’était pas venu le voir. Dans son fauteuil roulant, il entra dans la pièce, le visage dur mais un peu triste aussi. Il s’avança vers Lawrence.

« Eh, petit frère, je ne vais pas y aller par quatre chemins, tu es prévenu. C’est à cause de toi si je suis dans ce fauteuil aujourd’hui et que j’y passerai le restant de mes jours. Je n’aurais pas dû gagner par la tricherie à notre duel, je l’admets, mais je ne m’excuserai pas parce j’estime qu’à présent, nous sommes quittes. Tu n’as pas de comptes à me rendre comme je n’en ai pas à ton égard. Alors que ce soit bien clair. Si tu gâches ta vie à cause de ça, ce sera à mon tour de t’y mettre, dans ce foutu fauteuil. »

La dureté des mots de son grand frère choqua Lawrence un instant mais, curieusement, ils le soulagèrent d’un grand poids. Toute cette histoire et sa nouvelle condition l’avait sans aucun doute fait réfléchir. Il pouvait enfin comprendre ce que son petit frère avait pu endurer et n’avait pas l’intention de se laisser prendre en pitié ou de se laisser marcher sur les pieds, ni laisser son cadet sombrer. Le blondinet se mit à lui vouer un énorme respect pour ça. L’aîné voulait simplement que son cadet assume ses actes, ce que celui-ci comptait bien faire. Et, en un sens, c’était la première fois qu’il le poussait vers le haut, qui l’encourageait. De plus, dans son regard, Law ne voyait aucune rancœur cachée, à sa grande surprise. Non, il disait plutôt « A partir de maintenant, je serai toujours là pour toi. » Et à partir de ce moment-là, ce fut comme un accord tacite entre eux. L’un supporterait son handicap, l’autre sa culpabilité, deux fléaux équivalents, en somme. C’était un pacte silencieux. L’un serait toujours là pour l’autre, quoiqu’il arrive, et quoique pouvait en penser le reste du monde.

Suite à cela, Lawrence sortit de son trou accompagné de son grand frère, reprit une apparence décente, ses études, se fixa un objectif. Son père et ses autres frères semblaient avoir du mal à accepter son retour si « facile » à leur goût et l’absence de rancœur de la part d’Edward. Mais cela était le cadet des soucis des deux frères. Seule leur mère se réjouissait ostensiblement de cette complicité qui était née entre eux.

Ainsi, Lawrence visa l’entrée à Scotland Yard après avoir découvert chez lui cette passion pour les énigmes et la résolution d’affaires, et Edward devint bientôt le bras droit de son père dans l’industrie familiale. Tous deux se soutenaient mentalement et s’en sortaient. Au quotidien, on pouvait croire qu’ils avaient une relation plutôt houleuse, s’invectivant souvent et se traitant de tous les noms, à la moindre occasion, ne passant jamais sous silence leurs conditions respectives. Ils ne se faisaient aucun traitement de faveur tout en s’entraidant, ils s’insultaient tout en se soutenant. Personne ne disait rien, n’osant pas s’interposer entre eux deux, que ce soit même leurs parents ou leurs frères, alors ne parlons même pas des domestiques ou des invités, connaissances et amis. Ils fonctionnent comme ça, c’est tout.

Enfin, Edward prit également une femme, suivit de près par ses frères, sauf Lawrence. Ce n’était pas parce qu’il pensait ne pas le mériter, loin de là, mais plutôt que toutes les femmes qu’on avait pu lui présenter jusqu’à maintenant l’ennuyaient terriblement. Et puis, comme il était le petit dernier, ce n’était sûrement pas son père qui allait se soucier de ça, et sa mère ne semblait pas vouloir lui forcer la main. Lorsqu’il expliqua ça à Edward, celui-ci ne se fit pas prier pour éclater de rire et lui dit simplement de prendre son temps, que contrairement à tout ce qu’on pouvait penser, il méritait une femme bien. Et ce fût sûrement le seul compliment, si on pouvait appeler ça comme ça, que le blondinet n’avait jamais entendu de la part de son frère. Et il ne se ferait pas prier pour suivre son conseil. C’est ainsi que sa pauvre mère s’évertue à organiser des réceptions et des bals chez eux, conviant les meilleures prétendantes pour son plus jeune fils, en vain… Pour le moment.


IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

Prénom/Surnom: Undertaker~
Âge : Les 18 sont là mais les 19 ne sont plus très loin…
Autres comptes : Aucun, c’est mon premier, Milady~
Comment avez-vous découvert le forum : Un annuaire, en cherchant « forum RPG victorien » sur Google ‘^’
Comment trouvez-vous le forum : Très sympa, le design est très cool et le contexte, extrêmement intéressant, regorgeant de possibilités plus passionnantes les unes que les autres. Bref. Le genre de forum sur lequel je ne peux généralement pas résister à l’envie folle de m’inscrire, muhuhu~
Avatar du personnage : Moi-même. Enfin pas moi, moi : moi c’est-à-dire que les dessins sont de moi, bien sûr -sinon, on aurait un problème, je n’ai pas encore de yeux vairons, malheureusement. Et puis, je ne suis quand même pas narcissique à ce point… Si ?-
Enfin en tous cas, les images que j’utilise actuellement sont des fanarts de Noé, personnage tiré de Vanitas no Carte. Bien que le personnage original ne ressemble pas du tout à Lawrence physiquement, ces images, si, sans les couleurs (surtout l’avatar) donc je me permets de les utiliser momentanément le temps que je fasse mes propres dessins, si ça ne pose pas de problème ‘^’


FICHE PAR FALLEN SWALLOW



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MessageSujet: Re: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh EmptyMar 20 Juin - 22:34
Oh je ne suis pas encore passé te souhaiter bienvenue D:

Bienvenue ! Je suis content de voir des personnes inspirées par le contexte <3
Sache aussi que tu as un physique proche de celui de ma "duchesse", de quoi me faire perdre la tête X3

N'hésite pas si tu as des questions, et de signaler ta fiche si elle est terminée :)
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MessageSujet: Re: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh EmptyVen 23 Juin - 14:30
Bienvenue ! Ravie de voir des nouveaux membres franchir notre porte ♥ Si tu as des questions, comme le dit Chester, n'hésite pas ! :)
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Hansel
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MessageSujet: Re: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh EmptyMer 12 Juil - 15:28
Merci à tous les deux ! \o/

Mon cher Chester, peut-être que votre duchesse est une de mes parentes, dans ce cas ? Sûrement une piste à exploiter :P

En tous cas, ravi d'être parmi vous !
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MessageSujet: Re: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh EmptyVen 14 Juil - 23:45
Hey !

Je m'occupe de toi ! J'en suis à l'histoire, je devrais pouvoir te donner un avis ou te valider d'ici la fin du week-end. On s'occupe d'Hailey aussi (si tu passes par là ♥)

En tout cas, pour les descriptifs, je peux déjà dire que Chester (qui fait parti du milieu mondain et possède le palace en tant que directeur événementiel) et Lawrence auront fatalement un lien :D
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Hansel
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MessageSujet: Re: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh EmptySam 15 Juil - 0:05
Super, merci beaucoup ! :D Je transmets à Haley~

Fatalement ? Tant que ça ? :') A cause de ta duchesse du coup j'imagine ? x)
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MessageSujet: Re: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh EmptySam 15 Juil - 13:07
Ta ressemblance avec lui oui, puis comme c'est moi l'organisateur des événements pompeux de la Haute société de Londres, nous nous sommes sans doute déjà croisé :D
Et l'air ennuyé de ton personnage ne pourra que m’interpeller !
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The Cheshire Cat
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MessageSujet: Re: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh EmptyDim 16 Juil - 0:02

Tu es validée !



Belle plume, belle histoire, et belle conclusion pour le rapport avec son frère :)

J'espère que tu t'amuseras bien avec ce personnage ♥


Tu peux maintenant aller rp sur le forum ainsi que sur la chatbox (sans en abuser). N'oublie surtout pas d'aller tout de suite réserver ton avatar, afin d'être unique en ton genre. Nous nous occupons d'ajouter automatiquement sur la liste l'origine de ton personnage s'il est réincarnation.
Si tu n'as pas encore de partenaire(s) en vue, tu peux faire une recherche rp et/ou de liens. Ensuite, tu peux créer une fiche de lien pour gérer tous tes nouveaux copains. Puis, si besoin, tu peux demander un logement quand tu seras bien lancé(e). Tu as la possibilité t'inscrire sur la liste des métiers si tu es commerçant(e) ou médecin. Si tu fais parti d'un organisme particulier, comme par exemple Scotland Yard ou le Palais des Fleurs, tu y seras ajouté automatiquement.
Et enfin mais surtout, si tu as des suggestions ou des questions, n'hésite pas à contacter l'administration.

Amuse-toi bien !

Le staff ~



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Hansel
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MessageSujet: Re: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh EmptyLun 17 Juil - 1:21
Merci beaucoup ! :3

Eh bien nous verrons donc tout ça dans la partie lien :P En tous cas, je suis partant pour un RP si ça te tente aussi o/
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MessageSujet: Re: « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh « I will find the truth, whatever the cost. » - Lawrence Leigh Empty
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