I. Caitriona Lawrence.

• NOM : Lawrence
• PRÉNOM : Caitriona
• NATIONALITÉ : Anglaise
• ÂGE : Dix-huit ans
• SEXE : Féminin
• ÉTAT CIVIL : : Célibataire mais amoureuse
• MÉTIER : Tueuse à gage
• SITUATION FINANCIÈRE : Modeste
• OCCUPATIONS/PASSIONS : Lecture et dessin
• GROUPE : Contes
• HISTOIRE D'ORIGINE : Raiponce du conte Raiponce

II. LES DESCRIPTIONS.

Caitriona est une jeune fille pouvant faire preuve d’une grande naïveté ayant passé une partie de sa vie dans une tour. Elle est curieuse et a soif de connaissance, n’hésitant pas à harceler des gens dans la rue pour leur demander des informations sur tel ou tel bâtiments. Elle est follement amoureuse de celui qui l’a recueilli, lui offrant une confiance aveugle. Elle est loyale, elle ne rompra jamais une promesse, voyant cela comme une question d’honneur. Elle est de nature gentille et agreable, n'hésitant pas à rendre service aux gens à qui elle tient. Elle a parfois du mal a dire non, mais quand elle a une idee en tête ou une envie, rien ne peut la faire changer d'avis, ce côté têtu lui a apporté bien des problèmes dans le passé et risque de lui en poser encore. Malgré sa curiosité, elle éprouve une sorte de peur du monde qui l’entoure, voyant sa belle-mère partout. Bien que Caitriona en veut a sa belle mère pour les coups, elle ne peut s'empêcher d'éprouver un semblant de reconnaissance de l'avoir élevée, et bien qu'elle ne se l'avouera jamais, l'amour qu'elle a pu lui donner.

Caitriona est une jeune femme aux longs cheveux blonds, ses cheveux brillants lui descendent jusqu'à mi-cuisse, elle les attache toujours en un chignon sophistiqué.

Les traits de son visage sont fins et délicats, ses prunelles sont entourées de cils longs, sombres et fins. Ses traits du visages sont doux, sans faire plus attention a son apparence, l'ont pourrait la prendre pour une noble, elle est toujours propre et soignée. Elle soigne son apparence en toute occasion, aimant plaire autour d'elle, apporter du désir en particulier a son amour.

Ses cheveux sont sa fierté et seront souvent agrémentés de fleurs ou de bijoux.
La jeune femme mesure environ 1m60, elle porte toujours des robes dans les tons clairs comme du bleu, du parme ou du rose. Elles seront le plus souvent emplies de fioritures, parfois couvertes de froufrous. Elle serre le plus souvent les corsets au minimum mais n'hésitera pas a les serrer plus si cela peut mettre ses formes en valeurs et ainsi plaire a son amour.

Ses yeux sont d'un bleu profonds, aussi bleus que l'océan et si profond qu'en les regardant trop longtemps, l'on pourrait y sombrer et s'y noyer.

La jeune femme possède quelques cicatrices et hématomes constamment cachés sous ses habits, mais certaines cicatrices sont visibles aux yeux les plus aguerris, a condition de s'approcher assez près.

Sa peau est assez claire, elle est d'apparence fragile comme si le moindre coup de vent pourrait la briser, elle est fine mais pas maigre, elle possède des formes plutôt généreuses mais pas trop, ayant ce qu'il faut où il faut.

III. L'HISTOIRE.

Connaissez-vous l'histoire de Raiponce? Cette jeune fille ayant passé la moitié de sa vie dans une tour, prisonnière d'une sorcière à cause de l'erreur de ses parents. Cette jeune fille, qui sera sauvée par un prince qui venait la voir dès que la sorcière s'en allait.

Cette jeune fille qui tomba enceinte du fruit de leur amour, grossesse qui révéla l'idylle a la sorcière. Sorcière qui abandonna la jeune fille dans une forêt. Sorcière qui piègea le prince avec les cheveux de la demoiselle qu'elle avait auparavant coupé. Le prince ne se douta pas de la supercherie, pensant qu'il s'agissait de son aimée, il grimpa le long de la chevelure blonde jusqu'au sommet de la tour comme à son habitude.

Au sommet de la tour, il ne vit pas le visage doux de Raiponce, mais le visage tordu de colère de la sorcière, avant qu'elle ne le pousse et qu'il ne tombe dans un rosier, lui ôtant la vue.

Raiponce mit au monde des jumeaux, alors qu'elle leur chantait une berceuse, le prince qui errait dans la forêt reconnut la voix de sa chère et tendre Raiponce. La jeune femme le reconnut, et lorsqu'elle vit l'aveuglement de son prince, la demoiselle versa des larmes d'amour. Ces mêmes larmes d'amour tombèrent sur les yeux du prince, lui rendant ainsi la vue. Ils purent enfin, vivre heureux à tout jamais.

A présent, laissez-moi vous conter sa nouvelle histoire

Raiponce est née un soir d'hiver, un hiver rude, si rude qu'il lui enleva sa mère peu de temps après sa naissance. Elle fut appelée Raiponce après que sa mère ait posé son regard sur les petites laitues dans le jardin, la dernière chose qu'elle vit avant de décéder.

Son père connut un désespoir sans nom, il se réfugia dans l'alcool et les jeux d'argents. Sa fille lui fut alors enlevée puis confiée à une femme riche ne pouvant avoir d'enfants.

Raiponce grandit enfermée dans une chambre, sous le prétexte de la protéger du monde cruel et de ses tentations. L'enfant n'avait donc aucun contact avec l'extérieur, à l'exception d'un serviteur et de sa mère.

La demoiselle passait ses journées à observer l'extérieur par sa fenêtre, elle voulait pouvoir toucher les arbres, l'herbe et sentir la brise sur son visage.

Alors qu'elle était âgée de sept ans, lors d'une visite de sa mère, l'innocente enfant mentionna l'extérieur et son envie de sortir. Ce fut le jour de la première leçon, la première gifle pour oser contester l'ordre de ne pas parler de ce monde extérieur.

A dix ans, Raiponce fit à nouveau mention du monde de dehors, suppliant sa mère de l'y emmener. La demoiselle ne put compter les coups qui suivirent. Sa mère ne s'arrêta qu'après avoir estimé que sa fille aurait assez de bleus pour se souvenir de ne jamais mentionner l'extérieur a nouveau.

Après cette épisode, Raiponce laissa passer quatre ans. L'année de ses quatorze ans, elle décida de ne pas laisser sa mère gagner. Tout les jours elle mentionna l'extérieur. Tout les jours elle reçut une correction.

Sa mère possédait un martinet dont elle ne s'était servie qu'une seule fois, l'usant pour punir une domestique lui ayant dérobé un bijou.

Lors d'une correction, sa mère demanda a son domestique de lui ramener son martinet, voyant que le bâton ne faisait plus son effet. Raiponce sentit le fouet entrer en contact avec sa peau, continuellement elle le sentait, elle le sentait traverser la chair de son dos. Après ce qui lui sembla une éternité, sa mère stoppa la torture, laissant le dos de l'adolescente en sang, marquant la frêle jeune fille de marques qui ne disparaîtront jamais.

Le serviteur qui avait ramené le fouet l'avait soigné et prit soin d'elle, tout en préparant autre chose dans l'ombre.

Alors que sa mère était partie en voyage, Raiponce prit la fuite avec le serviteur. Ils arrivèrent a Londres et Raiponce découvrit enfin l'extérieur.

La demoiselle s'extasiait devant chaque échoppe de marchands, chaque fleurs qu'elle voyait par terre. Elle profitait de sentir la brise soulever délicatement ses cheveux, caresser son visage. Elle s'éloigna petit a petit de son serviteur alors qu'il demandait une direction a un passant.

Raiponce s'aventurait dans la ville, innocemment, elle regardait autour d'elle, s'émerveillant de tout, arrêtant des passants pour demander tout et n'importe quoi.

L'adolescente s'aventura tant, qu'elle finit par atterrir dans un quartier plus sombre, des hommes la regardait de haut en bas avec des regards de luxure. Raiponce continua a marcher sans s'en préoccuper, sans sentir les dangers régnant dans un tel endroit.

Un homme accosta la demoiselle, un sourire carnassier figé sur son visage, il puait l'alcool. Raiponce le regardait, sans méfiance, alors qu'il la prit par la taille pour la coller contre lui. Elle le regarda avec un ir interrogateur mais se dit qu'il devait s'agir d'un moyen de saluer les dames. Elle entendit l'homme lui dire qu'elle était jolie, elle sentit sa main caresser ses cheveux et descendre le long de son corps avanr d'être plaquée au mur par le même homme. Ce même homme qui fut soudain envoyé par terre.

Un homme aux beaux cheveux noirs fit son apparition dans son champ de vision, il avait le poing serré et fixait l'homme inconscient par terre.

Raiponce le fixa

"C'est aussi un moyen de dire bonjour ?"

L'homme la fixa incrédule

"Comment ça ?

-Ben...il me disait bonjour..."

Elle vit l'homme sourire de sa naïveté, elle ne l'avait pas vu qui la suivait depuis un moment, ne savait pas qu'il avait de sombres projets pour elle.

Raiponce fixa le nouveau venu, il semblait tout droit sorti d'une peinture comme celles qu'elle observait a longueur de journée dans ses livres. Elle sentit son coeur battre plus vite, la voix grave et envoûtante de l'homme la sortit de ses rêveries.

Il venait de lui demander son prénom, la demoiselle hésita. Quand il vit son hésitation, il lui demanda ce qu'il se passait. Raiponce lui raconta son histoire avant même de réfléchir a si elle pouvait faire confiance a cet homme, elle ne fit pas attention au regard de l'homme. Elle s'arrêta enfin pour respirer. L'homme prit la parole de sa voix envoûtante

"Tu veux recommencer ta vie?

-Oui...

-Viens avec moi, rien ne te retient...

-Vraiment...? J'étais avec un ami...je vais le prévenir !"

La demoiselle partit en courant sans lui laisser le temps de repliquer, elle arriva a son serviteur et lui raconta toute l'histoire.

Le serviteur essaya de la mettre en garde mais rien n'y faisait et elle finit par le convaincre et accepta qu'elle aille avec l'homme a condition qu'il soit aussi de la partie.

Cinq ans passèrent où la demoiselle apprit a se défendre pour pouvoir se battre contre Sa mère. Cinq ans où elle continua a rester dans sa bulle, créée par l'homme qu'elle aimait.

Il faisait nuit quand une silhouette suivait un homme comme son ombre, la silhouette était silencieuse, pas un bruit dans la nuit, uniquement les bruits de pas de l'homme. Bruit de pas qui s'arrêtèrent lorsque la silhouette fondit sur lui, tranchant sa gorge avant qu'il ne puisse crier.
La silhouette s'écarta et se tourna vers son superviseur, celui-ci la regardait

"Bravo... Un pas de plus vers ta liberté...

-Tu es sûr qu'il devait mourir? "

L'homme la serra et passa sa main dans ses cheveux

"Tu sais bien ce que je t'ai dis petite fleur.

-Qu'il s'agit d'hommes de ma mère qui veulent me ramener chez elle...mais... Il a été si gentil...

-Mais rien... C'est ta mère qui lui a dit de gagner ta confiance petite fleur...Eh bien tu vois que tu sais... Ne me pose plus jamais de question par rapport à ça, fais moi confiance et contente toi de m'obéir. D'accord?

-Oui..."

La jeune femme regarda le cadavre de l'homme, l'homme qui l'avait aidé a s'enfuir, seul vestige de son ancienne vie, alors qu'ils partaient du lieu du crime. Ce fut ce soir là qu'elle devint Caitriona Lawrence, Raiponce était morte et enterrée.

IIV. DERRIÈRE L'ECRAN.

Tu es validée !

Les modifications étant faites, je n'ai rien à redire ! Je te souhaite donc un bon jeu parmi nous, amuse-toi bien ! :)