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Lui
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 :: A Fascinating story :: Fiches de personnages :: Fiches abandonnées
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MessageSujet: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 14:05


I. BARBE BLEUE.

 

 • NOM : Talbot. Il a gagné ce nom dans l'un de ses mariages. Celui de sa naissance s'est perdu dans le temps.
 • PRÉNOM : Vincent. Ce n'est probablement pas son réel prénom.
 • NATIONALITÉ : Anglais d'appartenance, Écossais de naissance, menteur de nature.
 • ÂGE : 41 ans – né en 1843.
 • SEXE : Volontiers.
 • ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. Il y a bien assez de femmes dans son entourage pour ne pas avoir  déraper sur un croupion.
 • MÉTIER : Se marier. Être veuf. Jardiner au Palais des Fleurs.
 • SITUATION FINANCIÈRE : Indécemment fortuné. A pouvoir s'offrir un village seulement pour le laisser en friches, s'il le voulait. A pouvoir ruiner un empire. Le relever. Riche, oui. Beaucoup trop riche.
 • OCCUPATIONS/PASSIONS : Son métier. Son jardin. La photographie. Une certaine affection pour la parfumerie.
 • GROUPE : Conte.
 • HISTOIRE D'ORIGINE : Barbe Bleue – Charles Perrault.


 
II. LES DESCRIPTIONS.


 CARACTÈRE

 Distingué • Adaptable • Réfléchi • Terre à terre • Cruel • Joueur


Sir Talbot est un modèle d'éducation. Un homme raffiné, instruit, curieux des sciences et respectueux de la pudeur, très courtois, souriant, paisible. Un gentleman dans la force de l'âge qui affiche la tranquillité des lions vainqueurs, de ceux qui sont nés pour régner et qui éprouvent toute la saveur de leur propre réussite sans ressentir le besoin de la dévorer. Quelqu'un de fiable, de magnétique, à qui on se fie volontiers. Un homme pieu, c'est certain, en tous cas quelqu'un à la moralité impeccable du point de vue public : on ne lui a jamais vu de débordement, on ne lui connaît pas de travers. Malgré son deuil récent, qui plus est, il est d'une dignité louable. Un modèle.

Lui est un monstre. Lui, c'est un esclavagiste, une créature capable de calculer la valeur de la viande d'une pucelle pour la mettre sur le marché, sans ciller, sans frémir, seulement en admirant l'or que sa virginité éclaboussera sur les murs de son Palais. Un fauve implacable et glacial, un être masqué qui avance tapis, dévore la jeunesse, entretient le vice. Un démon incarné.

Entre les deux il y a Vincent. Un homme né de rien, parvenu tout en haut, à la seule force de sa patience et de son sens de l'observation. Quelqu'un qui aime le parfum des fleurs et ignore les larmes des orphelines qu'il fait enfermer dans son jardin aux perversions. Un individu qui se voit entre l'homme d'affaire et l'esthète, un investisseur de talent, un mécène pour le Beau dans son sens général, à côté de la morale. A qui la mode macabre de la photographie morbide plaît beaucoup. Qui se fait de la mort l'idée du plus raffiné des maquillages. Un homme joueur, mais qui sait davantage assurer ses avancées que prendre des risques inutiles. Un monstre peut-être, toutefois aussi loin de la folie qu'il l'est de la bonté.

Lui, Vincent et Sir Talbot n'ont pas la même figure, même si c'est probablement lorsqu'il est masqué qu'il se permet d'être le plus lui-même. Ce qu'il est. Un collectionneur passionné. Un faussaire sachant s'arranger pour dépasser l’œuvre originelle ; bien des mensonges étant plus beaux que la pauvre et simple vérité.


 PHYSIQUE


C'est un homme assez grand pour son époque – un mètre soixante douze, rehaussé de talonnettes glissées dans ses chaussures à l'occasion, quand il faut impressionner – aux yeux d'un bleu perçant, couleur hiver. Ses cheveux et ses cils, très longs et très noirs, soulignent l'expression de ses iris, qu'ils soient amusés, amicaux ou glacials, trois humeurs dont ils se teintent le plus souvent. Ses lèvres sont assez larges et pâles, son menton fin et peu marqué, son nez très droit. Une barbe taillée court et bas donne aux contours de son visage un peu plus de fermeté encore.

Fin sans être maigre, il n'est ni gras ni franchement musclé. Il a la carrure qu'il faut pour porter bien ses costumes, avoir une certaine amplitude d'épaule, toutefois c'est un homme privilégié qui n'a que peu d'efforts à faire, en tous cas pas un métier physiquement exigeant. De son passé ne se trahissent que quelques cicatrices aux mains, qu'il gante le plus souvent pour cacher les cals de ses entraînements à la lame et des ongles cassés par son mousquet.

Atout de sa fortune, c'est un homme parfumé, dégageant des fragrances raffinées, rarement semblables d'un mois à l'autre. Sûr de sa richesse et de sa prestance, il porte des vêtements très classiques, taillés avec le plus grand soin, le plus souvent noirs et écrus. Une touche de rouge parfois dans une écharpe. Lorsqu'il est Lui il est masqué d'un loup blanc, voilant ses yeux. Lorsqu'il est Sir Talbot il revêt son visage d'un sourire bienveillant.

Haut de forme et cheveux noués en catogan terminent sa silhouette sans excentricité, qu'il ponctue d'une canne ou d'une rose en boutonnière, selon les occasions.  


 
III. L'HISTOIRE.


 
Barbe Bleue était un roturier, riche, terrible, veuf plusieurs fois. De ses femmes on ne trouvait pas trace, jamais, jusqu'à ce que la dernière, tenant fermement entre ses petits doigts menus une grosse clé de fer, n'en ouvre le réduit de son époux. Têtes féminines alignées au mur et sang nappant le sol décoraient le secret de l'homme. Effrayée, elle chercha à cacher sa curiosité, appeler ses frères à la rescousse, pour finir apitoyer le bourreau qui la poursuivait avec un coutelas pour tirer un trait rouge sur sa gorge blanche et toute cette affaire à la fois. Dans le conte, Sœur Anne finit par voir, après l'herbe qui verdoie et le soleil qui poudroie, le salut arriver.

Lui a enterré ses femmes, merci bien. C'est que le parfum des fleurs fanées n'est pas le meilleur, vous comprenez.


Celui qu'on appelle Vincent Talbot est né à Glasgow, dans une famille très modeste, très nombreuse. Son père travaillait dans un commerce recevant, traitant et revendant de ces poudres colorées dont les plus aisés – en Écosse comme ailleurs – se faisaient un délice, les exotiques contrées offrant dans leurs terres des teintures vives et inédites, qui ne se voyaient pas fréquemment, et qui donc étaient du luxe. Comme beaucoup des enfants du couple parental, Vincent rejoignit le père à son labeur, pour mériter sa pitance du soir. L'aîné de la fratrie mourut d'une intoxication, à cause de l'une des poudres. La seconde d'une noyade dans le port, après une mauvaise chute. Le troisième d'un hiver féroce ; Vincent, lui, était atteint d'une maladie peu fréquente et souvent mortelle : l'ambition. Dès son plus jeune âge, il se sentait frustré de regarder passer les marchands, venant poser de l'or dans la main du propriétaire de l'échoppe, partir avec tout le fruit de leur travail, pour qu'il ne leur tombe que des miettes sèches et dures dans l'assiette en fin de compte. Mais il était malin, aussi, et observateur, et patient. A force de suggestion, d'obstination et de politesse, il réussit à convaincre le marchand qui les employait, lui et sa famille, qu'une aide quant aux papiers,  la lecture, aux comptes lui serait bien utile. Sa vue baissait, après tout, puis il avait autre chose à faire, comme prendre soin de son épouse grasse et capricieuse par exemple, laquelle avait tendance à dilapider l'argent du ménage. Le jeune garçon apprit ainsi à lire, à compter, à gérer également. A bien se tenir, aussi, puisqu'il ne présentait pas trop mal, et que le propriétaire des lieux lui laissait de plus en plus volontiers les négociations dont le jeune homme était friand et qui lui l'avaient lassé.

Quand Vincent eut vingt ans et des poussières, son père était mort depuis longtemps, le marchand lui depuis une poignée d'heures. L'épouse et veuve lui souriait, les yeux très doux, le cœur battant. Elle avait eut peur du plan de son amant, mais il avait eu raison après tout : si cette poudre avait pu tuer un jeune garçon des années auparavant par accident, elle pouvait tout aussi bien accidenter un vieillard bien moins charmant que ce garçon qui lui faisait une cour délicieuse et lui promettait de ne pas garder tout cet argent pour lui, si d'aventure ils se mariaient. Ce qu'ils firent dans l'année même, au scandale de la bourgeoisie locale et au dépit de la famille de Vincent. En effet, loin de leur faire profiter de la manne, il revendit la boutique au plus offrant, un homme qui ne reprit pas ces employés maladifs par ailleurs ; et sa femme et lui quittèrent Glasgow pour une terre que la pas si jeune épouse s'imaginait plus jolie.

Un triste malheur en chemin – le cheval tirant la calèche avait du voir une vipère, hélas ! – le fit arriver veuf et riche à la ville de ses désirs, Edinbourg. S'inventant une bourgeoisie bien assise et un héritage de renom, il s'installa en ville en négociant une parfumerie, ainsi que des terres extérieures, avec de belles roseraies. On se souvint de lui comme cet homme si délicieux, si bien éduqué, un peu précieux, qui avait pourtant les doigts et la barbe teintés de bleus – le commerce paternel, à ce que Vincent racontait, lorsqu'on lui posait la question. Il rencontra une femme, dans ses affaires. Une veuve, encore, mais qui elle l'était déjà lorsqu'ils firent connaissance cette fois. Elle possédait des roseraies, elle aussi, ainsi qu'un vieux savoir faire, plusieurs boutiques, un très bel héritage immobilier qu'un fils unique mais débauché n'éprouvait qu'impatience d'obtenir enfin. Elle avait presque quinze ans de plus que Vincent, il lui fallut six mois pour la faire tomber dans ses bras. Treize pour faire interner son fils pour pédérastie. Deux pour qu'une marche traîtresse dans l'escalier de sa demeure principale la fasse enfin tomber sèchement sur la nuque. Il était riche, alors, vraiment. Aisé, installé. Une ascension sociale fantastique.

Lorsqu'il posa les yeux sur Lady Talbot, il sut que sa fulgurance n'était pas suffisante. Pas encore. Elle était anglaise et de voyage, jeune et belle, blonde et fraîche. Noble, aussi. Désargentée, complètement. Si son père avait hérité d'honneur et pas de fortune, il tenait à son rang comme à sa vie, et pour tout l'or du monde il n'avait pas galvaudé le nom familial. Ils étaient venu visiter de la famille, probablement prendre quelques menus deniers à leur sang éloignée. A chercher à plaire à Lord Talbot, lui, le simple bourgeois, n'avait aucune chance de le convaincre de lui céder la petite main intacte de sa fille unique. Aussi choisit-il un autre biais : celui de la passion. Le père hurla, pesta, maudit l'enflure qui se tenait devant lui d'avoir déshonoré sa pauvre enfant, mais il consentit à leurs épousailles avant que le ventre de la jeune fille ne fut trop enflé, et ne révèle la nature de cette nécessité.

Il avait un nom, à présent. Une fortune certaine, un rang établi. Une belle épouse, dont il se piqua de figer avec cette si récente photographie la beauté, la faisant poser pour lui, au milieu de ses jardin, entre leurs draps lorsqu'elle était endormie, à la fenêtre ou à sa harpe lorsqu'elle ne l'était pas. Elle avait perdu leur enfant. Il n'y était pour rien, cette fois, et pendant l'espace de quelques semaines s'interrogea sur le prix de cette vie, la colère divine, ou quelque sorcellerie mesquine. Il s'en remit, toutefois. Elle non. Ses beaux yeux étaient pleins de mélancolie, ses épaules d'abandon. Sa jeunesse avait tout l'éclat du macabre, et plus elle s'éteignait, plus il se sentait l'aimer – comme un artiste aime son œuvre, pas comme un homme aime sa femme. Il la tua, elle aussi, en quelque sorte, puisque le désespoir compte comme un poison, après tout. Il la regretta, elle. Pas jusqu'à en changer ses voies, pas jusqu'à en éprouver du remord, non. Mais il exposa son image partout chez lui. Curieusement, la chose fit de cet homme encore une fois veuf la coqueluche d'Edimbourg, puisqu'on jugeait l'histoire de cette toute jeune morte et de ce bel homme qui appelle son spectre du dernier romantique. Même Lord Talbot en fut touché, pensant sans doute que le bourgeois avait réellement aimé sa fille, et que celle-ci avait péri de trop aimer, et que c'était beau ; il légua à son gendre et dernier dépositaire de sa lignée le manoir familial. A Londres.

Ainsi il devint anglais. Dans ses bagages les photographies de sa dernière épouse, des boutures de ses roses, plus d'argent qu'il n'en fallait à toute une famille pour vivre bien, lui qui était seul. Il arriva dans la capitale auréolé d'une excellente réputation, drapé d'un manteau romanesque qui faisait virevolter des demoiselles autour de lui, encore plus que son argent. Et puisqu'il aimait tant les fleurs et les jeunes filles, on lui souffla, après quelques mondanités, l'adresse d'une demeure particulière. On se figurait qu'il restait veuf par dépit, par fidélité, qu'un homme avait ses besoins malgré tout. Au juste, s'il ne piochait pas dans la nuée féminine qui n'attendait que sa main tendue pour s'y accrocher, c'était parce qu'aucune ne satisfaisait le plus grand appétit qu'il pouvait avoir, à savoir son ambition.

Ce fut avec ce regard qu'il entra, comme client, pour la première fois dans le Palais des Fleurs. Curieux, détaché, maîtrisé, il fut inspiré. Intéressé. Malin, également. Assez pour échapper aux pièges des bras tendres. Assez pour capter davantage que ce qu'il laissait dans ces lieux. Assez pour happer l'attention d'un homme, parmi ces femmes. Son attention à Lui.

C'était un vieil homme, cynique et noble. Et sans héritier. S'il ne confia strictement rien de son nom propre, de ce qu'il était en dehors du Palais, il ne souhaitait pas laisser cette œuvre-là sans succession, encore moins à quelqu'un qui la gâcherait. Lui avait pressentit que Vincent aurait l'état d'esprit, la vision, la façon qu'il faudrait pour ne pas changer le Palais en auberge, ou pire, en simple bordel qui se ferait clore et oublier. Lui avait découvert, dans les quelques confidences qu'ils se firent l'un l'autre, mesurées, qu'ils partageaient tant la passion des fleurs que celle de la chasse et du veuvage organisé. Il enseigna à Vincent les subtilités des orphelines, de la confiance à savoir glisser à ses employés, des secrets de la gestion particulière, du poids de tous ces secrets, de comment s'arranger pour en savoir assez pour être respecté, que personne jamais n'en sache trop, et ne devienne une menace trop présente. En défi, Vincent se fit désigner une cible, une jeune femme, de bon sang, de bon rang, bien gardée, déjà mariée et veuve suite un duel suscité par sa beauté. Quand Vincent enterra sa quatrième femme en la personne de cette proie délicieuse, qui périt d'une terrible fluxion contre laquelle les médecins ne purent rien, son vieux mentor lui céda avec confiance son dernier héritage, le Palais des Fleurs, et son propre masque.

Il devint Lui. Toujours plus fortuné. Plus doté. Plus veuf, également. Statut qu'il ne compte pas laisser inchangé. Un mariage, oui, il lui en faudra un autre, il n'attend que la belle cible. Celle qui lui inspirera d'être père. Il veut un fils à modeler à son image. Un arbre généalogique à faire croître dans son jardin fleuri. Maintenant qu'il a tout ce qu'un mortel peut avoir, il cherche à toucher à l'immortalité. Avoir une descendance. Et un cinquième veuvage, pour ajouter un troisième visage aux photographies de femmes mortes qui ornent les murs du manoir Talbot.



 
IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

Prénom/Surnom: Papa Yaga.
Âge  : Je peux boire de l'alcool aux États-Unis.
Autres comptes : /
Comment avez-vous découvert le forum : Par un top-site.
Comment trouvez-vous le forum : Très mauvais, franchement, c'est pour ça que je me suis inscrit d'ailleurs. Z'en avez, d'ces questions...
Avatar du personnage : Sicks (celui fourni).

 
 
FICHE PAR FALLEN SWALLOW

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MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 17:42
Bienvenue parmi nous, je vois que ton personnage tue des femmes et fait pousser des roses, je ne peux qu'approuver ♥

Bon courage pour la validation de ta fiche (qui est superbe d'ailleurs) !
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Invité
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Invité
MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 19:00
Ravie de voir Lui débarquer, alors que je suis en train de travailler sur Lilas. :wiii:

Bienvenue parmi nous ! Et bon courage pour ta validation, puisque ta fiche est terminée.
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The Cheshire Cat
Chester Winks
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MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 19:40
Coucou et bienvenue !

Est-ce que tu as parlé et a été guidé par le masque de lui avant de te lancer dans ta fiche ? (Si non, je m'en excuse j'ai oublié de le signaler dans les prédéfinis des fleurs. Quoi qu'il en soit pour un tel personnage, il faut que tu le fasses :/ )

Parce que c'est un personnage très très important que tu as pris là, et il est important que la personne qui l'a créé, ainsi que le Palais des fleurs, te valide :)
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Invité
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MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 19:43
Merci et merci, d'abord.

Ensuite, non, pas du tout. J'ai du manquer l'endroit où c'était suggéré de le faire, my bad.
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The Cheshire Cat
Chester Winks
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MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 20:00
Non t'inquiète. Pardon, c'est moi qui avait oublié de le mettre dans les prédéfinis des fleurs avant D8 (j'ai édité mon message précédent trop tard)

On a prévenu le modo' qui s'occupera donc de lire ta fiche, on te tiendra au courant :3
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Invité
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MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 20:09
Aucun problème de mon côté, suis prêt à faire les changements qu'il faudra pour ceux qu'il y aura à faire (:
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Le masque de Lui
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Le masque de Lui
MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 20:39
Bonsoir,

Honnêtement je n'ai rien à dire, c'est Lui. Le personnage est parfait, horrible dans tout ce qu'il y a de plus humain. Je donne mon aval :)
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Invité
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Invité
MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 20:56


Tu es validé !




Comme tu as obtenu l'aval du Masque, je te souhaite la bienvenue et te déclare validé !

Je partage l'avis du Masque, le personnage est parfait et horrible, tu sembles maîtriser le contexte, c'est très bien écrit. Je suis heureux de voir le propriétaire du Palais débarquer !
(juste une petite remarque : riche à pouvoir ruiner un empire, je considère ça comme une hyperbole, parce que quand même, restons honnêtes XD)
Bon courage dans la gestion du Palais... et dans tes futurs mariages je suppose ._.



Tu peux maintenant aller rp sur le forum ainsi que sur la chatbox (sans en abuser). N'oublie surtout pas d'aller tout de suite réserver ton avatar, afin d'être unique en ton genre. Nous nous occupons d'ajouter automatiquement sur la liste l'origine de ton personnage s'il est réincarnation.
Si tu n'as pas encore de partenaire(s) en vue, tu peux faire une recherche rp et/ou de liens. Ensuite, tu peux créer une fiche de lien pour gérer tous tes nouveaux copains. Puis, si besoin, tu peux demander un logement quand tu seras bien lancé(e). Tu as la possibilité t'inscrire sur la liste des métiers si tu es commerçant(e) ou médecin. Si tu fais parti d'un organisme particulier, comme par exemple Scotland Yard ou le Palais des Fleurs, tu y seras ajouté automatiquement.
Et enfin mais surtout, si tu as des suggestions ou des questions, n'hésite pas à contacter l'administration.

Amuse-toi bien !

Le staff ~



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MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyLun 1 Fév - 21:04
Riche à ruiner un empire commercial, je me figurais, la suite a échappé à mon clavier :D Et oui, c'est largement une hyperbole, n'exagérons rien.

Merci beaucoup à vous deux !
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Invité
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: Lui Lui EmptyMar 2 Fév - 3:10
Je suis conquis, aussi bien par le personnage que par ton écriture ♥. Bienvenue à toi, j'espère que tu t'amuseras bien sur le forum o/ !
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MessageSujet: Re: Lui Lui Empty
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Lui
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