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Suite à l'épidémie de tuberculose et à l’abus de sorcelleries au cours de cette triste période, les Pénitents, une milice sans pitié qui se veut la main armée de Dieu, parcourent toujours les rues. La Reine a-t-elle perdu la tête ou le contrôle ?

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"Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy
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 :: A Fascinating story :: Fiches de personnages :: Fiches abandonnées
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MessageSujet: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptySam 29 Aoû - 17:38


I. Wendy Rosenberg.


• NOM : Rosenberg
• PRÉNOM : Wendy
• NATIONALITÉ : Anglaise
• ÂGE : 20 ans (mais l'admet difficilement)
• SEXE : Féminin
• ORIENTATION SEXUELLE : Tout et aucune. Chaque personne a sa propre beauté mais il n’est pas convenable pour une jeune fille de bonne famille d’avoir des pensées déplacées.
• MÉTIER : Aucun
• SITUATION FINANCIÈRE : Bourgeoise aisée
• OCCUPATIONS/PASSIONS : Lire et raconter des histoires, s’occuper des enfants et jouer avec eux, prendre le thé avec sa famille
• GROUPE : Conte
• HISTOIRE D'ORIGINE : Peter Pan


II. LES DESCRIPTIONS.


CARACTÈRE

Joyeuse • Maternelle • Respectable  • Enfantine • Autoritaire • Effarouchée



Wendy Rosenberg est une jeune femme tout à fait respectable.

A vrai dire, il est difficile de faire plus respectable qu’elle : Elle se lève et se couche tôt, ne va pas à l’opéra ou au théâtre, ne sort qu’en présence d’un membre de sa famille et s’habille de la manière la plus respectable qu’il soit.

La seule chose qui pourrait sortir de l’ordinaire est bien à quel point Wendy tient à être respectable. Dans tout Londres il est dur de trouver jeune fille plus chaste et plus modeste. Elevée par un respectable père banquier dans la plus respectable des traditions bourgeoises, Wendy Rosenberg n’aspire qu’à fonder une famille, une grande famille, une immense famille pleine d’enfants aux joues roses à qui elle pourra raconter des histoires magnifiques et respectables avant de les border le soir. Oui, Wendy rêve constamment de cette famille radieuse et joyeuse qui l’attend. Il ne reste plus qu’à trouver un respectable jeune homme avec qui la fonder.

Ah, mais voilà justement une des rares choses qui ne soit pas très respectable chez Wendy : elle n’est pas encore mariée. Peut-être est-ce de là que vient sa réticence à admettre son âge (déjà la vingtaine, Wendy sait qu’elle doit rapidement trouver un mari avant que ça ne devienne scandaleux et qu’on parle d’elle autrement qu’en la complimentant), mais peut-être que cette horreur qui lui glace le sang à l’approche de son anniversaire vient d’ailleurs. Wendy préfère ne pas y penser.  

Oui, Wendy n’est toujours pas mariée. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé, son père lui présente souvent de respectables prétendants qui admirent son caractère maternelle et son esprit enjoué. Wendy aime bien ces rencontres sociales que ses parents organisent, cependant, elle en sort toujours un peu effrayée. Evidemment, Wendy veut être mère et avoir de nombreux enfants tout aussi respectables qu’elle. Mais Wendy est terrifiée à l’idée de ce qu’il va se passer pour avoir cette famille parfaite qui l’attend. Elle refuse tout simplement de se faire un jour appeler « madame » ou de devoir… faire ce qu’il faut pour que des enfants arrivent au monde.
Wendy n’est pas naïve mais tout cela… ce sont des affaires d’adultes, et il est tout simplement absurde qu’elle se considère comme telle. Wendy est encore jeune, si jeune.

Wendy sait bien ce que les gens pensent d’elle. Les amies de sa mère ne tarissent pas de compliments à son égard, s’émerveillant devant la si jolie Wendy si souriante  et si douée avec les enfants, si attentive à ses lectures. Pas d’horreurs ou de morts dans les histoires de Wendy, rien que des gens qui rient, qui chantent, qui combattent le mal (lorsque c’est nécessaire) et tout doit bien se finir (de préférence avec un « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants »). Elle sait que c’est la mode de son temps d’écrire de terribles histoires sur les couches les plus infortunées de Londres, des hommes  plein de bonne volonté veulent faire prendre conscience aux gens les plus aisés que dehors, il y a des enfants qui meurent de faim et des jeunes filles sans maris qui doivent vendre leur corps. Mais Wendy refuse d’entendre parler de ça, ce sont des affaires d’adultes et elles n’ont rien à faire dans des livres pour enfants. Le ciel lui en soit témoin, Wendy brûlerait tous ces livres si elle le pouvait. Juste pour s’assurer qu’aucune âme innocente ne tombe dessus et ne grandisse brutalement.

Sauf que tout le monde ne trouve pas la candeur de Wendy si charmante. La plupart des dames de la noblesse (cette noblesse si attirante dans laquelle son père bourgeois voudrait la marier) se moquent d’elle derrière leur sourire maquillé de rouge. Elles rient de cette jeune fille si effarouchée qui refuse de grandir et qui rougit dès qu’un homme lui prend la main pour la baiser. Elles s’amusent de ses goûts enfantins et plaisantent devant sa mère de la difficulté à trouver un homme prêt à épouser cette femme-enfant alors qu’il y a tant de séductrices prêtes à tout pour se faire connaître dans le monde.

Wendy préfère ignorer ces remarques. Quel dédain elle a pour ces femmes, ces filles d’à peine dix-sept ans parfois ! Qui déjà se maquillent et mettent des robes qui dévoilent leur clavicule et portent des talons qui claquent durement sur le sol. Elles se précipitent toutes sur la piste de danse lors des bals et éclatent de grands rires cristallins, font miroiter les pierres précieuses dans leurs coiffures sophistiquées. Wendy est bien plus à l’aise dans les salons adjacents à s’occuper des petits délaissés par leurs mères le temps d’une soirée. « Wendy la nourrice » elle entend murmurer sur son passage. C’est bien loin de la vérité. Les nourrices sont souvent austères et ne cessent de rabrouer les jeunes enfants à leur charge, de leur dire de se tenir droit, d’imiter leurs parents, de grandir. Wendy les déteste toutes.  Les enfants ne devraient recevoir que des caresses, des compliments, de gentilles réprimandes pour leur expliquer ce qu’il est convenable de faire, des douceurs sucrées pour le goûter et des histoires. Beaucoup d’histoires. Tout le reste est des affaires d’adultes, un point c’est tout.

Ciel, faites que Wendy ne devienne jamais adulte.


PHYSIQUE



Peut-être dans une autre vie Wendy était-elle grande et élancée, mais dans celle-ci elle est un petit bout de jeune fille aux joues roses et aux yeux bleus pétillants.

Wendy ne ressemble pas vraiment aux critères de la femme du monde qui charme tous les hommes sur son passage ; elle a une masse de boucles rousses en tire-bouchons sur la tête mais elle aime ses cheveux, aussi durs à coiffer soient-ils. Ils lui donnent l’air d’avoir un soleil autour de la tête, et rien ne pourrait être mieux que ça.

Wendy est tout petite, mais ça non plus ça ne la gêne pas. Lorsqu’elle rencontre des inconnus, ils pensent souvent qu’elle n’a que quatorze ou quinze ans et l’appellent « jeune demoiselle », rien ne peut lui faire plus plaisir. Wendy ne comprend pas les jeunes débutantes qui, lors des bals, veulent qu’on les prenne pour des femmes et paradent en minaudant pour se donner l’air plus mûre. Qu’y a-t-il de mieux que de paraître jeune et enfantin ? Si Wendy avait le choix, elle ne vieillirait jamais : voilà pourquoi elle ne s’habille qu’avec les robes qu’elle a toujours porté, des robes aux couleurs pastels pleines de volants et de rubans, qui lui donnent l’air d’une poupée avec ses cheveux oranges et ses tâches de rousseurs sur son petit nez froncé.  

Wendy rougit de plaisir quand on la complimente sur « ses mignonnes petites robes » ou « ses jolis petits souliers ». Mais elle sent son cœur battre la chamade dans sa poitrine lorsque les amis de son père lui assurent « qu’elle est une femme séduisante » ou « une dame exquise ». Ces mots lui serrent l’estomac et lui donnent la nausée au point qu’elle doit bien souvent se réfugier dans sa chambre d’enfant, pleine de poupées et d’adorables figurines en porcelaine. Wendy a des sueurs froides lorsque des amis de la famille lui font remarquer à quelle point elle a grandit depuis la dernière fois qu’ils l’ont vus. Elle doit alors cacher les grosses larmes qui lui viennent aux yeux et menacent de rouler sur ses joues.

Wendy n’aime pas la magie (c’est bien l’une des choses les moins respectables de ce monde selon la Reine), mais dans ses désirs les plus secrets, elle admet qu’elle serait prête à faire une exception si jamais il y avait un sort qui lui permettait de rester une petite fille toute sa vie.

Mais Wendy a déjà vingt ans… Et le temps semble s’écouler toujours plus vite vers ses vingt-et-un…


III. L'HISTOIRE.



Dans un autre Londres, si semblable au notre, Wendy Darling est une petite fille de douze ans qui se réveille en pleine nuit pour voir Peter Pan tenter de récupérer son ombre dans la chambre qu’elle partage avec ses deux plus jeunes frères. Le jeune garçon (qui est un garçon depuis toujours) est horrifié d’apprendre que George Darling, le père des enfants, veut que Wendy grandisse. Il emporte donc la fillette et ses deux frères au Pays Imaginaire, un monde enchanté où les enfants ne grandissent jamais, où les sirènes se baignent paresseusement parmi les poissons et où la Fée Clochette (fidèle amie de Peter) possède une poussière qui peut vous faire voler si vous croyez aux fées.

Peter Pan est à la tête des garçons perdus, ces orphelins qu’il a emmenés (enlevés ?) au pays imaginaire pour qu’ils n’aient jamais à devenir adultes et, curieux de voir une petite fille pour la première fois, ils décident que Wendy doit être leur mère, tâche dont elle s’acquitte avec plaisir.

Mais même au sein du Pays Imaginaire, des dangers rôdent : que ce soit sous la forme d’un bateau pirate commandé par le cruel Capitaine Crochet (qui a juré de tuer Peter Pan après que celui-ci lui ai coupé la main lors d’un duel) ou d’un terrifiant crocodile que l’on peut entendre approcher inexorablement par le tic-tac de la montre qu’il a avalée il y a de cela plusieurs années.

Mais étrangement, le voyage au Pays Imaginaire (supposé empêcher Wendy de grandir) a l’effet inverse et c’est décidé à devenir une adulte et une mère de famille qu’elle retourne à Londres avec ses frères, bien loin des fées jalouses et des sirènes vaniteuses.

La réincarnation:

D’aussi loin qu’elle s’en souvienne, Wendy a toujours eu des rêves très étranges. Son père répète que c’est là un des signes de son « imagination débordante », et rien qu’en pensant à ses mots, Wendy visualise le petit sourire tendre de son père, toujours accompagné d’un froncement de sourcils mécontent (tendre et mécontent, voilà une parfaite description de M. George Rosenberg).

La plupart de ses rêves sont à l’image de Wendy : joyeux et colorés. Ils débutent toujours de la même façon : un beau petit garçon arrive à sa fenêtre et lui tend la main pour l’emmener vers de formidables aventures que Wendy oublie à son réveil. Wendy adore ce garçon dont elle ignore le nom et, bien souvent, elle en fait le héros des histoires qu’elle raconte aux plus petits.
George Rosenberg n’approuve pas vraiment les histoires de Wendy et plus les années s’écoulent, moins il approuve le temps qu’elle passe dans les nurseries à s’occuper des enfants des autres. Wendy sait que son père est fier d’avoir une fille aînée si respectable et d’une douceur maternelle si admirable ; mais il aimerait aussi que sa fille grandisse un peu pour se trouver un mari et avoir une famille à elle.

Wendy sait qu’elle a de la chance de paraître aussi jeune, mais sa famille connaît son âge véritable et même sa mère commence à s’inquiéter de ne pas lui trouver de partenaire adéquat. Wendy n’a pas le courage de lui dire qu’elle est tout simplement terrifiée à l’idée de devoir devenir la femme de quelqu’un et d’être appelée « Madame Quelque-chose » plutôt que « Mademoiselle Rosenberg ». Cependant, Wendy ne veut pas non plus décevoir ses parents qu’elle aime, alors elle se tient bien droite et sourit toujours devant les prétendants que son père lui présente : fils de collègues banquiers, cousins éloignés ou (lors de rares occasions) des jeunes hommes ruinés mais pourvus de titres de noblesses et qui seraient prêt à faire d’elle une Comtesse ou une Marquise du moment que sa dot renfloue leurs coffres.

Wendy se fiche bien de rester bourgeoise toute sa vie. Elle sait que, femme de  Comte, Marquis ou banquier, elle aura toujours le même devoir : s’allonger, fermer les yeux et penser à l’Angleterre pour pouvoir ensuite donner une famille à son mari. Mary Rosenberg, sa tendre mère, lui avait expliqué lors de ses débuts que ce genre d’affaires n’avait pas à être aussi froide que Wendy le pensait et, qu’avec le bon type de mari, tout cela pouvait même être agréable. Mary avait sourit en voyant Wendy rougir jusqu’à la racine de ses cheveux et l’avait laissé partir en lui assurant qu’elle ferait tout pour lui trouver « le bon type de mari ». Ce que sa mère ignorait, c’est que Wendy savait exactement à quel point ces affaires là pouvaient être agréables : elle l’avait apprit avec un autre genre de rêve qu’elle faisait.

Wendy refuse de parler de ces rêves-là. Ils sont totalement à l’opposé de ceux qu’elle aime : pas de soleil brillant dans un ciel bleu azur, pas d’arc-en-ciel multicolore, pas d’adorable garçon pour lui tenir la main et l’aider à voler au-dessus de forêts pleines de fleurs. A la place, Wendy rêve d’une nuit sombre, à peine éclairée par une grosse lune blanche qui se reflète sur une mer sans fin. Elle peut sentir avec une vive précision le goût du sel dans sa bouche et le roulis d’un bateau sous ses pieds ; mais, pire que tout, c’est le toucher glacé d’un crochet argenté qui la fait frissonner : dans son lit, elle tremble lorsque le crochet s’emmêle dans les dentelles de sa robe de nuit, tandis qu’à son oreille une voix grave lui susurre à quelle point elle est « parfaite, parfaite Wendy, si jolie Wendy, qui restera à bord de mon navire pour toujours… ». A chaque fois, Wendy doit se forcer à se réveiller et serre les dents lorsqu’elle imagine la caresse fantomatique du métal contre sa peau brûlante. Elle sait bien que ce sont là des rêves d’adulte ; voilà pourquoi elle fait tout pour les oublier.

Pourtant, même si ces rêves la perturbent et qu’elle sort de ceux-ci trempée d’une sueur glacée, ils ne sont rien comparés aux cauchemars qui la prennent parfois… Cauchemars qui lui viennent du même garçon qui l’emmenait dans de si belles aventures dans ses plus doux rêves. Wendy refuse de penser à ses cauchemars, même lorsqu’elle est seule. Elle les ignore comme elle ignore les filles de mauvaise vie qu’elle voit à travers la fenêtre de sa calèche, ou comme elle ignore les remarques de plus en plus pressantes de son père sur son âge. Rien n’est pire que ses cauchemars, pas même les terribles fêtes d’anniversaire qu’elle doit subir chaque année et où tout le monde autour d’elle lui rappelle qu’elle s’éloigne un peu plus de l’enfance.

Dans ses ténébreux cauchemars, elle se retrouve dans sa chambre d’enfance, celle qu’elle partageait autrefois avec John et Michael ; sauf qu’il n’y a ni jouets ni poupées, pas plus de tapis colorés que de tapisseries peintes. Tout ce qu’il y a, c’est cette ombre funeste qui s’avance sur les murs, qui se glisse sans bruit jusqu’aux lits de ses frères et qui oblige Wendy à regarder, paralysée et muette, John, puis Michael, se faire poignarder. A chaque fois, Wendy voudrait hurler ou se réveiller, pleurer ou courir, mais elle est comme figée et ne peut qu’observer avec impuissance le sang rouge gicler sur les draps blancs. L’ombre ne parle pas, elle n’a même pas de visage, mais Wendy peut l’entendre avec précision dans sa tête, elle sait exactement pourquoi ses frères sont assassinés : « Ils ont grandis, Wendy, ils n’avaient pas le droit. Ils n’ont pas le droit de grandir, tu connais les règles, ils n’ont pas le droit de grandir… Mais toi aussi tu as grandi… » ; et soudainement, Wendy se tient devant son grand miroir et elle peut voir les rides au coin de sa bouche, les mèches grises dans ses cheveux roux, et son ventre gonflé par un enfant. Et juste derrière elle, l’ombre qui approche sans pitié.

Quand Wendy a ce genre de cauchemars, elle court jusqu’à la chambre de John, ouvre la porte et va jusqu’au lit pour tâter la poitrine de son jeune frère, pour s’assurer qu’il respire toujours. John déteste quand elle fait ça, il la rabroue et la repousse violemment : « Grandis un peu, Wendy, ce n’est qu’un cauchemar ! Laisse-moi dormir ! ». Elle sort alors sans un mot, entend à peine les insultes de son frère et avance, toute aussi fébrile, jusqu’à la chambre de Michael. Michael est toujours plus doux avec elle, il sort doucement de son sommeil et lui offre un sourire fatigué avant de se décaler pour que Wendy puisse se faufiler dans son lit et se blottir contre son petit frère.  Le lendemain matin, même lorsque John est en train de pester contre elle, Michael fait comme si de rien n’était. Son cher Michael, son petit bébé adoré, qui a déjà quatorze ans maintenant…

John lui en a dix-huit et est une des plus grandes déceptions de Wendy. Auparavant, John adorait ses histoires et la considérait comme une seconde mère ; mais maintenant, il ne parle plus que d’argent et de politique, de comptes en banque et d’affaire de guerre. Il clame à qui veut l’entendre qu’il sera soit directeur de banque, soit commandant de cavalerie, tout cela sous l’œil ému de George Rosenberg qui en profite pour vanter ses mérites à tous les parents de filles à marier de Londres.

Wendy ne comprend pas pourquoi John a tellement hâte de devenir adulte, hâte de grandir… et hâte de mourir.



IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

Prénom/Surnom: Duchess On Fire
Âge  : 19 ans
Autres comptes : Non.
Comment avez-vous découvert le forum : Par Elena M. Voigtgeist
Comment trouvez-vous le forum : Bien agencé et plein de personnes fort sympathiques !
Avatar du personnage : Bonté de TheCrasy


FICHE PAR FALLEN SWALLOW

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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptySam 29 Aoû - 18:05
Bienvenue à toi !

J'adore ton histoire ♥, bon courage pour la suite de ta fiche !
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptySam 29 Aoû - 18:12
Bienvenue! Amuses toi bien avec ta fiche! :heyhey:
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptySam 29 Aoû - 18:27
Oh ! Quelle histoire... Fascinante. Bon courage pour la suite ! Je te surveillerai avec attention... :gné:
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptySam 29 Aoû - 18:32
Bienvenue et bon courage pour la suite **
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptySam 29 Aoû - 19:05
Merci à tous pour votre accueil très sympathique ! :rougi:
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The Cheshire Cat
Chester Winks
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptySam 29 Aoû - 20:05
Oh, un Peter et une Wendy en moins de 24h ♥

Bienvenue !

Je n'ai pas encore eu le temps de lire ton histoire, mais je vais faire ça une fois posé, on dirait que ça promet *-*
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptyLun 31 Aoû - 12:39
Bienvenue parmi nous, petit croissant.
J'ai lu ton histoire d'une traite, je ne pouvais pas m'arrêter. C'est absolument génial et j'ai hâte de pouvoir rp avec toi. Surtout qu'Alice et Wendy devraient s'entendre à merveilles. (Je suis terriblement triste pour John QAQ). J'espère que tu joueras ta famille en PNJ èé. Ils le mérites!
Ah et au passage: Peter Pan est un conte, donc tu appartiendras au groupe des conte et non de la littérature. Bon courage pour la suite de ta fiche ♥
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptyLun 31 Aoû - 14:20
Merci beaucoup pour tes remarques, je vais changer mon groupe au plus tôt !
Ce sera un plaisir pour moi que de voir ma Wendy croiser le chemin de ta Alice !

Douceurs et sucreries :luv:
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptyMer 2 Sep - 21:35
Alors je ne vois pas grand chose à redire si ce n'est qu'à notre époque le maquillage est réservé aux prostitués. Du coup les femmes de bonnes familles dont tu parle n'en utilisent pas. Le corps des femmes étant jugés trop pures pour être souillés de cette manière. Donc je veux bien que tu change ce passage. Ceci mis à part, rien à redire :D. Tu seras probablement validée rapidement.
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptyMer 2 Sep - 21:55
Super je change ça tout de suite, je ne savais pas ce détail particulier à RoM, j'avais pris l'époque victorienne comme contexte général ! :danse:
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptyMer 2 Sep - 22:02
Ce n'est pas particulier à RoM, en fait. A cette époque les femmes ne se maquillaient pas ou excessivement peu. Comme dit wikipédia. J'avais une floppée d'autres articles sur le sujet, mais je ne les trouves plus. Pour ce qui est de la mode, j'ai ça aussi, si tu veux. Voilà :D
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptyMer 2 Sep - 22:11
Je comprends mieux en lisant tes articles, l'erreur est mienne. J'avais souvenir de mes lectures sur l'époque victorienne que les femmes distinguées se maquillaient, et effectivement, c'était le cas: elle se maquillaient pour prétendre que ce n'était pas le cas (d'où ma confusion): beaucoup utilisaient des produits pour se blanchir le teint (avec quelque chose comme du sperme de baleine je crois... :gnéh: ), s’agrandir les pupilles et se rosir subtilement les lèvres. Mais oui, le fard faisait mauvais genre selon la reine Victoria, pas de doute là-dessus.
Merci beaucoup de me l'avoir fait remarquer, je me coucherai moins bête ce soir  :hihi:
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptyMer 2 Sep - 22:48


Tu es validé !



Vala ma choupette, sans grand étonnement te voilà validée. J'ai hâte de te voir gambader sur le forum avec ton innocence et ta douceur ♥



Tu peux maintenant aller rp sur le forum ainsi que sur la chatbox (sans en abuser). N'oublie pas maintenant d'aller réserver ton avatar, afin d'être unique en ton genre. Nous nous occupons d'ajouter automatiquement sur la liste l'origine de ton personnage s'il est réincarnation.
Si tu n'as pas encore de partenaire(s) en vue, tu peux faire une recherche rp et/ou une demande de liens qui déboucherait éventuellement sur un topic. Ensuite, tu peux créer une fiche pour gérer tout ceci. Si besoin, tu peux demander un logement, et enfin mais surtout, si tu as des suggestions ou d'autres demandes, n'hésite pas à contacter l'administration.

Amuse-toi bien !

Le staff ~




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Baron Samedi
Jeremiah Saturday
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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy EmptyJeu 3 Sep - 3:14
La bienvenue la miss. Oh mais je vois que vous venez de la haute, et vous ne vous ennuyez jamais ? Passez donc à l'une ou l'autre de mes fêtes, vous y serez reçue... comme il se doit, raaahaahahahaaaaah !!!

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MessageSujet: Re: "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy "Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy Empty
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"Seuls les sans-cœur joyeux et innocents savent voler." - Wendy
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