I. NOM ET PRENOM.

• NOM : Fanfrelon
• PRÉNOM : Flynn
• NATIONALITÉ : Britannique
• ÂGE : 21 ans
• SEXE : M
• ORIENTATION SEXUELLE : Sans tabous
• MÉTIER :
• SITUATION FINANCIÈRE :
• OCCUPATIONS/PASSIONS :
• GROUPE : Littérature
• HISTOIRE D'ORIGINE : La Machine à Explorer le Temps ~ H. G. Wells

II. LES DESCRIPTIONS.

ICI, la description du mental en 10 lignes minimum. Attention, personne n'est parfait, n'oubliez pas que votre personnage doit posséder des qualités ET des défauts.

ICI, la description du physique en 10 lignes minimum. Vous pouvez parler de la couleur de cheveux, la peau, des yeux, mais aussi de la morphologie, l'allure globale, le style vestimentaire (en prenant en compte l'époque) ou encore des détails. À noter que les piercings, stretchings et tatouages ne sont pas quelque chose de fréquent. S'ils ne sont pas discrets, n'oubliez pas que vous risquerez de susciter de la curiosité, de la provocation ou encore de l'étonnement. Aussi, sachez justifier votre extravagance.
Enfin, il est important de mentionner SA TAILLE, afin que nous sachions s'il faut regarder en haut, en face ou en bas.

III. L'HISTOIRE.

Voyez vous à toutes les époques, il y a des Hommes qui vraisemblablement ne semblent pas être aimer de la vie. L'existence même est un fardeau trop lourd à porter. Pourtant ils sont là, nageant dans l'acceptation de soit et du monde qui les rejettent, ils sont les oubliés du bonheur et pourtant …
Lorsque l'on est né avec une cuillère en or dans la bouche souvent notre parcours ne se résume qu'à un long et perpétuel étalage de notre ennui. Mais quand on doit étirer de ses dix doigts le visage de la routine pour ne serait-ce apercevoir s'esquisser un léger sourire. A mon humble avis c'est à ce moment que la roue de la chance à tourné. Le bien heureux se morfond et le triste malchanceux croque la vie frénétiquement sans en laisser une miette, il n'a pas le choix de toute façon. C'est une question de survie.

Nous sommes en plein XIXème siècle, période de troubles ou tout se chamboule. Nous assistons à une véritable scène de théâtre ou certains rient et profitent du malheur des autres. Le petit peuple arbore le masque de l'austérité, à l'image des pluies battantes de Londres.
D'ailleurs Londres, quel bordel cette ville. Croyez moi si je vous dit que vous n'auriez pas apprécié y mettre les pieds. Les pavés qui arborent le sol suinte de boue et de crasse tandis que les murs dégoulinent de la sueur de ses habitants. Le brouillard s’immisce dans les quartiers et les rues étroites, cet invité indésirable nous fait très vite perdre la raison, ici la notion d'espace et de temps est très relative. Tout n'est que nuance de gris à en faire vomir.

Dans certains livres on trouve même la ville décrite comme passionnante, véritable petit paradis pour amateur de roman gothique. Il semble qu'à chaque coin de rue l'on peut trouver de nouveaux vices dont seul l'Homme en connait le secret
Attardons nous justement sur l'un d'entre eux.

Il y avait dans cette petite ruelle, une femme qui y traînait subissait de violentes contractions qui l'avait cloué au sol. Elle hurlait à la mort au premier médecin qui pouvait passer par là, mais surtout à n'importe qui pourrait lui venir en aide.
C'était l'heure de vérité, elle espérait de tout son cœur qu'elle tiendrait d'ici un moment un petit bout de chaire vivant entre ses doigts. Mais personne n'est venu. Elle s'accrocha aux pavés, ses ongles raclaient la pierre lisse et son visage se tordait dans un rictus d'agonie. L'image était insoutenable, le moment fatidique arriva et l'enfant fut hors de peine dans les bras de sa mère. Elle se mit à être prise d'une soudaine euphorie et souria à son enfant. Petit être de tendresse, ta mère a placé tout ses espoirs en toi. Souviens toi de son visage, car la marre de sang qui s'écoule en pleine rue de Londres n'aura aucune pitié pour elle, la bougie anonyme s'éteindra à ce moment là.

Notre histoire aurait très bien pu s'arrêter ici, seulement, les secours tant attendu ne vinrent que plus tard, un ivrogne passait par là et comptait finir sa nuit, seulement l'odeur abominable du sang frais était bien plus enivrante que l'alcool et il avançait en direction du cadavre comme attiré par une pulsion malsaine. Il retroussa la manche de son haillon et caressa délicatement la joue de l'inconnue, elle était encore chaude. Il se lécha les babines, mais il sentit une chose étrange se mouvoir contre son dos. La chose semblait escalader comme une araignée, ses membres se plantaient dans ses guenilles. Un frisson traversa la veille carcasse de l'ivrogne. La peur l'avait comme figé alors qu'il ne lui aurait fallu qu'un léger mouvement de main pour dégager l'indésirable. Puis la créature une fois arrivé au niveau de la nuque referma son étreinte sur son cou. C'est à ce moment que l'homme se rendit compte qu'il avait un bébé accroché.

IV. DERRIÈRE L'ECRAN.