Forum rpg victorien fantastique

Avatar dessiné - 200*320
NC-18


VOTER

Liens utiles

Rumeurs

Suite à l'épidémie de tuberculose et à l’abus de sorcelleries au cours de cette triste période, les Pénitents, une milice sans pitié qui se veut la main armée de Dieu, parcourent toujours les rues. La Reine a-t-elle perdu la tête ou le contrôle ?

Nos portraits

Boite à trésors

Discord

-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

Family, Duty, Honor
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

 :: A Fascinating story :: Fiches de personnages :: Fiches abandonnées
Invité
Anonymous
Invité
MessageSujet: Family, Duty, Honor Family, Duty, Honor EmptyVen 29 Mai - 2:55


   
I. Fraus Lehmann.

   

    • NOM : Lehmann
    • PRÉNOM : Fraus
    • NATIONALITÉ : Anglais
    • ÂGE : 25 ans
    • SEXE : Masculin
   • ORIENTATION SEXUELLE : Pourquoi n’essayez vous pas de le séduire pour voir~
    • MÉTIER :Officier, mais en convalescence pour le moment
    • SITUATION FINANCIÈRE : Aisée
    • OCCUPATIONS/PASSIONS : L’équitation, la lecture, se promener dans le parc, retrouver des amis autour d’un verre... et certaines choses moins avouables.
    • GROUPE : Civils

   
II. LES DESCRIPTIONS.


CARACTÈRE

• Sérieux • Secret • Idéaliste  • Amical• Entêté


   
L’Angleterre se targue de produire d’excellents officiers dans ses académies, sur tous les plans. Ce sont des gentlemen éduqués, issus des meilleures familles du royaume, et aussi à l’aise sur le champ de bataille que dans une soirée mondaine. Formés aux arts de la guerre, de la diplomatie, et des sciences, ils sont les représentants du savoir-vivre anglais aux quatre coins de l’Empire… enfin, c’est ce qu’on raconte.
En vérité, et ceux vivant aux alentours de l’académie de Londres ne vont pas le nier, c’est que les jeunes hommes envoyés là bas pour se former ne font pas toujours preuve de la rigueur martiale qu’on tente de leur enseigner… une aubaine pour les patrons de tripots, bordels et autres lieux de perdition de la ville. Et même si certains restent assez sages, le temps passé à l’étranger, loin de leur famille et du regard de la société londonienne, entourés d’autres soldats souvent beaucoup moins scrupuleux, les pousse pour beaucoup à céder aux sirènes, qu’elles soient de l’alcool, du jeu ou de la chair.

Mais Londres a une étrange manière d’accueillir ses enfants prodigues, et l’un de ces officiers, rentrant chez lui après quelques années décidera de laisser derrière lui, en franchissant les frontières de la ville, ses tentations et les inconduites qui en ont découlé. Cynisme et pessimisme obtenus après d’amères expériences craquèlent un peu en retrouvant sa famille, et laissent paraître une lueur d’espoir, un peu idéaliste, qu’il avait en partant, et avec elle une amabilité autrefois ternie.  Rien à faire en revanche pour sa fichue tendance à ne pas prendre en compte les avis des gens lorsqu’il est persuadé d’avoir raison, car même si ses années dans l’armée l’ont atténuée, il l’avait déjà avant même de mettre les pieds à l’école militaire.
Au moins, il fait de nouveau un effort pour écouter lorsqu’on lui parle, au lieu de faire semblant lorsqu’il estime la conversation inintéressante.
N’hésitez pas si vous avez besoin d’une oreille à qui confier vos problèmes : étant assez peu préoccupé par la gloire, l’avancement et tout ce tintouin, il y a (relativement) peu de chance qu’il les utilise contre vous. Sauf si vous parvenez vraiment à l’énerver, bien sûr ♥ renoncez donc à tout mauvaise blague dont il serait la victime, c’est une manière sûre de s’attirer ses foudres et il lui faudra longtemps pour oublier… mieux vaut que vous vous contentiez de le taquiner.


PHYSIQUE


 
Malgré les commentaires prononcés dans leurs dos par certains au sujet de leur nom, rien ne permet de distinguer les membres de la famille Lehmann de leurs riches concitoyens au premier regard, et Fraus ne fait pas exception à cette règle. N’ayant pas souffert de la faim comme tant d’enfants de l’époque, sa croissance lui a permit d’atteindre une taille supérieure à la moyenne, une caractéristique qui d’ailleurs semble courir dans sa famille tout comme ses cheveux blonds et ses yeux bleus mêlés de gris. Lesdits cheveux sont coupés courts, à la mode militaire, et soigneusement peignés pour qu’aucune mèche ne s’échappe.
De son temps dans l’armée, il a également gardé une posture droite, un visage relativement inexpressif dans la plupart des situations, et une vilaine cicatrice à la jambe gauche qui le contraint à utiliser une canne lors de ses déplacements. Heureusement, la popularité de cet objet chez les gens de son âge fait qu’on ne soupçonne pas immédiatement que la sienne aille au-delà du simple accessoire de mode, et, de loin, Fraus ressemble à n’importe quel autre jeune homme issu de la haute société. En s’approchant, cependant, on peut remarquer que ses traits, bien qu’harmonieux, sont souvent tirés, trahissant sa fatigue, comme s’il sortait d’une longue période de convalescence. Malgré cela, son regard reste observateur, et parfois même inquisiteur lorsqu’il a remarqué quelque chose d’inhabituel.

Il porte son uniforme quand l’occasion l’exige, mais, au quotidien, préfère des vêtements sobres et confortables, convenables sans non plus être à la pointe de la mode .



   
III. L'HISTOIRE.


   
Au commencement, il y eut un homme. Un étranger, envoyé par sa famille de marchands dans un autre pays dans l’espoir de s’y étendre, et de pouvoir ramener les milles et unes merveilles cachées dans les colonies de ce dernier. L’époque étant propice, la succursale montée par Wilfried Lehmann se montra bientôt prospère, jusqu’à finalement éclipser la maison-mère allemande. Ne souhaitant pas mettre tous leurs œufs dans le même panier, chacun investit de son côté, lui dans l’industrie textile alors en pleine révolution, pendant que sur l’autre rive, sa famille faisait de même avec l’acier. Tous s’intéressèrent également de près aux dernières innovations en matière de transport, vitales pour leur activité.

Les années passèrent, et Wilfried fonda bientôt une famille. Il chercha les meilleurs tuteurs pour ses enfants, auxquels reviendrait un jour l’entreprise, et leur apprit les ficelles du métier une fois qu’ils eurent l’âge pour. Puis les années passèrent de nouveau, et ce fut au tour des enfants de se chercher une moitié : on avait ri de leur père lorsqu’il s’était marié, lui, le parvenu à l’accent étrange. Sa plus belle vengeance fut de tous les voir faire de bonnes unions, les mêmes familles l’ayant autrefois dédaigné lui proposant tout à coup un fils ou une fille dans l’espoir d’échapper à la ruine.

Et c’est ici que notre histoire commence vraiment, avec la naissance du troisième enfant de l’aîné, un garçon que ses parents nommèrent Fraus. Bien qu’ils n’aient pas manqué d’affection envers leurs enfants, leur père passait le plus clair de son temps aux bureaux de la compagnie ou en voyage, et leur noble mère participait activement à de nombreux évènements de la vie mondaine londonienne : Fraus se retrouva donc la plupart du temps avec ses frères et sœurs pour unique compagnie de son âge. Élevés par une nourrice, puis une gouvernante, lui et les autres membres de sa fratrie tissèrent bien vite des liens solides, qui se montrèrent à l’épreuve du passage du temps. On leur inculqua dès leur plus jeune âge les valeurs que tout digne membre de la société se doit de respecter, et tous firent la fierté de leurs parents en appliquant ces leçons à la lettre. Puis, avec le temps, leurs leçons changèrent en fonction des affinités de chacun : l’aîné, qui se montra doué pour les mathématiques, diplomate, et plein d’idées suivit dans les pas de son père et de son grand-père, les deux filles reçurent une éducation adaptée à toute jeune dame, et Fraus, qui était fasciné depuis toujours par les livres aux gravures détaillées narrant batailles et guerres, anciennes comme récentes, fut envoyé à l’école militaire.

Pour un jeune homme studieux et à la morale stricte comme lui, découvrir que tout ses camarades ne partageaient  pas tous ses idéaux fut un choc : bon nombre d’entre eux n’avaient pas rejoint l’école par noble vocation, mais plutôt pour suivre une voie toute tracée depuis des années, qu’ils le veuillent ou non. Ils n’hésitaient pas à profiter largement de tous les divertissements qu’ils pouvaient trouver ou inventer, et tentaient régulièrement d’inclure Fraus dans des escapades dont le récit l’horrifiait. Des paris furent bientôt pris quant au premier qui arriverait à l’entraîner dans une de ces aventures et lui faire enfin abandonner ses valeurs puritaines.

Malgré cette amère désillusion quant à l’état de l’armée, le futur officier s’efforça d’étudier et de s’entraîner de toutes ses forces pour se montrer à la hauteur de sa charge et faire honneur à sa famille, à qui il écrivait régulièrement. Il finit quand même par se lier avec quelques un des autres élèves qui partageaient des idées similaires au siennes, et au bout d’un moment, les aventures rocambolesques dans lesquelles ses pairs les plus dissipés se lançaient ne le firent plus fuir en se bouchant les oreilles, mais simplement hausser les épaules. Puis, sans qu’il aie vu le temps passer, le temps des études toucha à sa fin et tous se retrouvèrent éparpillés à travers l’Empire. La malchance fit qu’il se retrouva séparé de son groupe familier, et envoyé au Nord de l’Angleterre, dans la pluie et le froid, et au milieu d’individus qui, bien que brillants, avaient des mœurs… relativement différentes des siennes.

Loin de ses amis, de sa famille, et coincé dans un endroit franchement déprimant, l’ennui finit par torturer Fraus, qui en vint à se demander s’il le problème ne venait pas de lui. Après tout, les autres officiers ne semblaient pas particulièrement subir les foudres divines qu’on lui avait toujours promis s’il en venait à se conduire comme eux, et avaient même l’air plutôt heureux. Alors, il se rapprocha d’eux, voyant de moins en moins de raisons de maintenir un comportement qui ne faisait que l’isoler, et, après une courte période où la culpabilité se fit ressentir, découvrit que cette vie n’était pas aussi horrible que ce qu’on lui avait fait croire. Bien sûr, il prit soin de rester discret à chaque écart hors du droit chemin afin d’éviter qu’une quelconque rumeur n’arrive aux oreilles de sa famille, ce qui ne manquerait pas d’avoir des conséquences sévères.

Le temps passa ainsi, dans l’ennui et la débauche, et les choses auraient pu se prolonger ainsi pendant longtemps si la situation au Soudan, qui se dégradait depuis plusieurs années, n’était pas devenue critique, requérant une intervention immédiate. C’est ainsi que Fraus passa des landes au ciel gris à un désert harcelé par le soleil, lancé avec tant d’autre dans une course contre la montre pour sauver une ville assiégée, en plein territoire hostile.
Une ville qu’il ne vit jamais, car lors du troisième assaut sur l’expédition, une lance lui traversa la jambe et le laissa à terre, perdant son sang sur les rives du Nil, pendant que la bataille faisait rage autour de lui. Ce ne fut qu’une fois de retour à Alexandrie avec les autres blessés qu’il apprit l’échec de la mission et l’anéantissement total de la garnison qu’ils devaient sauver, dans le bref moment de repos auquel il eu droit avant que son corps affaibli ne cède à la maladie qui avait déjà fauché tant des autres convalescents.

Lorsque la nouvelle parvint à la famille Lehmann que l’un des leurs se mourrait loin de sa patrie, ils ordonnèrent à l’un de leurs bateaux revenant d’Egypte le rapatriement de tous les soldats blessés dans les plus brefs délais. Fraus passa le plus clair de ce voyage ravagé par la fièvre et en proie au délire, voyant dans ses brefs moments de clarté ses souffrances comme une punition méritée pour ses écarts continus depuis des années, et implorant qu’on le pardonne pour tout ce qu’il avait fait. Alors, à la surprise générale, tandis que les côtes anglaises approchaient à l’horizon, sa fièvre tomba et on le déclara hors de danger.

En retrouvant sa famille, si fière de lui, ou plutôt de celui qu’il avait donné l’illusion d’être , la culpabilité qu’il avait ressentie autrefois lui revint, cette fois au centuple, et il ne put que se détester et jurer de laisser son ancienne vie derrière lui en rentrant dans le droit chemin. Bien sûr, il est facile de faire de telles promesses, encore faut-il ensuite les tenir…


   
IV. DERRIÈRE L'ECRAN.

   
Prénom/Surnom: Pandore
   Âge  : 20 ans
   Autres comptes : Non
   Comment avez-vous découvert le forum : C'est Alice qui a a fait de la pub !
   Comment trouvez-vous le forum : Le contexte est super intéressant.
   Avatar du personnage : Erwin Smith - L'Attaque des Titans
   

   
   
FICHE PAR FALLEN SWALLOW
   
Revenir en haut Aller en bas
The Cheshire Cat
Chester Winks
Messages : 1062
Penny Black : 966
Date d'inscription : 18/12/2014
Age : 34

Feuille de personnage
Métier/Occupation: Gérant du Chafouin Palace
Relations:
The Cheshire Cat
Chester Winks
MessageSujet: Re: Family, Duty, Honor Family, Duty, Honor EmptyVen 29 Mai - 3:21


Tu es validé !



— Bien sur que tu es validé, c'est tellement bien écrit et ton personnage est vraiment intéressant ♥
Un militaire droit dans ses valeurs qui doit désormais vivre avec son passé et reconstruire son avenir, j'espère que tu vas t'éclater ! Et puis, il était temps qu'on le découvre ce Fraus, personnellement je ne suis pas déçu. Amuse-toi bien parmi nous, je suis content de te voir de retour :3 —


Tu peux maintenant aller rp sur le forum ainsi que sur la chatbox (sans en abuser). N'oublie pas maintenant d'aller réserver ton avatar, afin d'être unique en ton genre. Nous nous occupons d'ajouter automatiquement sur la liste l'origine de ton personnage s'il est réincarnation.
Si tu n'as pas encore de partenaire(s) en vue, tu peux faire une recherche rp et/ou une demande de liens qui déboucherait éventuellement sur un topic. Ensuite, tu peux créer une fiche pour gérer tout ceci. Si besoin, tu peux demander un logement, et enfin mais surtout, si tu as des suggestions ou d'autres demandes, n'hésite pas à contacter l'administration.

Amuse-toi bien !

Le staff ~


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: Family, Duty, Honor Family, Duty, Honor EmptyVen 29 Mai - 3:24
Bienvenue et félicitations ! =D
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: Family, Duty, Honor Family, Duty, Honor EmptyVen 29 Mai - 19:28
Je ne suis pas déçue! Bien contente de voir ton Fraus ici.
J'espère que tu t'amuseras autant que nous, ici ♥
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Family, Duty, Honor Family, Duty, Honor Empty
Revenir en haut Aller en bas
Family, Duty, Honor
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Rain of madness :: A Fascinating story :: Fiches de personnages :: Fiches abandonnées-
Sauter vers: